mercredi 27 mai 2009

Ovi Store : des milliers d’applications à télécharger pour votre Nokia

Ovi Store Nokia

Dès aujourd’hui, Ovi Store est mis à la disposition d’environ 50 millions d’utilisateurs Nokia, sur plus de 50 modèles de mobiles Nokia et notamment le Nokia N97 bientôt disponible, dans le monde entier. Les clients peuvent accéder au site store.ovi.com depuis le navigateur de leur mobile Nokia et télécharger des applications, des jeux, des vidéos, des podcasts, des fonds d’écran, des logiciels de productivité, des services Web et de géolocalisation, etc. pour personnaliser et rendre leur mobile plus intelligent et plus amusant.



« Ovi Store s’ouvre aujourd’hui et offre du contenu local et international pour une vaste gamme de mobiles Nokia », explique Tero Ojanperä, vice-président directeur de Nokia Services. « Avec Ovi Store, l’achat de contenu et d’applications est simple et amusant pour les propriétaires de téléphones et de smartphones. »



Les clients peuvent mettre leur mobile à jour à l’aide de l’application mobile Ovi Store (dans les pays où elle est disponible) en sélectionnant l’icône Ovi Store dans le dossier Download! (Téléchargez) de leur mobile. Le client mobile est disponible en allemand, en anglais, en espagnol, en italien et en russe. Il prend en charge la facturation par l’opérateur en Allemagne, en Australie, en Espagne, en Irlande, en Italie, en Russie, au Royaume-Uni et à Singapour ainsi que le paiement par carte bancaire aux États-Unis. Dans le courant de l’été 2009, les utilisateurs français pourront acheter des applications par carte bancaire et par facturation chez les opérateurs français plus tard dans l’année. D’autres pays, langues, téléphones mobiles et fonctionnalités seront ajoutés tout au long de l’année. AT&T a décidé d’offrir le service à ses clients aux Etats-Unis en 2009.



Ovi Store est un service multimédia en pleine évolution qui regroupe les services de contenus existants de Nokia en une boutique en ligne de contenus gratuits et payants. Des milliers de grands noms de l’industrie du contenu et des développeurs d’applications indépendants distribuent leur contenu multimédia, leurs applications et leurs jeux sur Ovi Store. Les fournisseurs de contenus et les développeurs d’applications peuvent s'inscrire et distribuer leur contenu sur Ovi Store en visitant le site publish.ovi.com.



Les services ainsi que certaines caractéristiques peuvent dépendre du réseau et/ou de la carte SIM, ainsi que de la compatibilité des appareils utilisés et des formats de contenu pris en charge.



À propos de Nokia

Premier fabricant mondial de terminaux mobiles en termes de parts de marché, Nokia est également un leader dans la convergence des métiers de l'Internet et des communications. Notre vaste gamme de mobiles grand public et nos services Internet garantissent aux utilisateurs une expérience optimale dans les domaines suivants : musique, navigation, multimédia, messagerie et jeux. Nous proposons également des solutions de cartographies numériques et de navigation complètes via NAVTEQ, ainsi que des équipements, des solutions et des services pour les réseaux de télécommunications via Nokia Siemens Networks.

mardi 26 mai 2009

Nominations au sein de la Direction Générale Commerce, Services Clients Grand Public et Opérateurs de SFR

SFR

Philippe Bachman est nommé Directeur Commercial Grand Public et Professionnel de SFR, en remplacement de Guillaume Fradet nouvellement nommé au poste de Directeur Général Commerce et Marketing Offres de SFR Business Team (précédemment SFR Entreprises).



Samuel Loiseau rejoint également la Direction Générale Commerce, Services Clients Grand Public et Opérateurs de SFR en qualité de Directeur Enseigne espace SFR.



lls seront tous les deux rattachés à Frank Cadoret, Directeur Général Commerce, Service Client Grand Public et Opérateurs.



Philippe Bachman, 43 ans, est nommé Directeur Commercial Grand public et Professionnel de SFR. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Philippe Bachman aura la responsabilité de définir la politique commerciale et piloter les ventes de l’ensemble des circuits et réseaux de distribution physiques ou dématérialisés. Il animera les équipes centrales ainsi que les forces de vente en régions. Sa Direction regroupera également la Direction du Marketing Ventes, Formation et Evénements.



Philippe Bachman a commencé sa carrière au sein du groupe Remy Martin, au sein de la division Grande Distribution, en tant que Responsable de secteur.

En 1993, il intègre la Direction des Grands Comptes de Vinco, filiale française du groupe Skandinavisk. Il intègre en 1994, le groupe Bullough, en tant que Directeur-Adjoint du Développement Grands Comptes puis comme Directeur des Ventes Ile de France d’ATAL.



Il rejoint SFR en 1996, d’abord en tant que Chef des Ventes National de la marque Tam Tam. Ensuite, en 1998, il devient Chef des Ventes Ile de France pour SFR, puis Directeur Commercial Région Est, Directeur Commercial du réseau espace SFR et Directeur Grandes Enseignes.

En 2007, il prend la tête de la direction commerciale de SFD, la filiale de distribution de SFR.



Samuel Loiseau, 34 ans, est nommé Directeur de l’Enseigne espace SFR.

Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Samuel Loiseau aura la responsabilité de développer les magasins espace SFR, de déployer ce réseau et de définir les produits et services spécifiques à l’enseigne. Il pilotera l’évolution du concept, la communication média et point de vente ainsi que le merchandising des 800 espace SFR en France. Il aura également en charge l’animation du Studio SFR rue Tronchet à Paris.



Diplômé de l’ESSEC, Samuel Loiseau a rejoint Kraft Jacobs Suchard en 1997, comme Assistant Chef de Produit puis Chef de Produit sur les marques Côte d’Or et Milka.
En 2000, il intègre C-mescourses.com, le cybermarché du groupe Casino comme Responsable Marketing Clients.



Au sein du groupe SFR depuis 2002, il occupe successivement les postes de Chef de Groupe Fidélisation Abonnés, Chef de Groupe Offres Abonnements, et Responsable Marketing SFR La Carte. Depuis 2007, Samuel Loiseau était Directeur Marketing Abonnés SFR, où il a contribué à la construction et au pilotage des piliers de la stratégie SFR dont les forfaits Illimythics, la politique de fidélisation, ou le lancement de l’iPhone.

vendredi 22 mai 2009

Nokia 6600i slide - Un design et des fonctionnalités modernes

Nokia 6600i slide

Nokia a présenté aujourd'hui le Nokia 6600i slide, un téléphone à la beauté intemporelle conçu pour la photographie et le partage. A ce jour, il figure parmi les plus petits mobiles Nokia à glissière, dotés d’un appareil photo 5 mégapixels. En l’ayant dans votre poche, vous ne raterez jamais une occasion d’immortaliser les moments forts de votre vie.



Ayant également hérité du design compact et élégant de son célèbre prédécesseur, le Nokia 6600 slide, le Nokia 6600i slide séduira les utilisateurs soucieux de qualité. Avec ses façades en acier brossé et son bouton central chromé, le Nokia 6600i slide allie élégance sobre et design épuré ; ses commandes tactiles discrètes permettent de réveiller l’affichage, de répéter les alarmes, de couper la sonnerie et de rejeter les appels entrants.



Grâce à la combinaison de la connectivité 3G et de l’imagerie d’excellente qualité (à savoir un appareil photo 5 mégapixels avec double flash LED et un écran lumineux de 2,2 pouces prenant en charge jusqu'à 16 millions de couleurs), capturer et partager les moments forts de votre vie par le biais de différents services Internet ne vous a jamais procuré autant de plaisir. La mémoire est extensible jusqu'à 16 Go grâce à une carte mémoire microSD supplémentaire.



Le Nokia 6600i slide est fourni avec une carte microSD d’1 Go et le kit oreillette stéréo Nokia WH-203 avec radio FM.



Le prix de vente au détail du Nokia 6600i slide est estimé à 289 euros TTC sur le marché français (hors subvention). Il devrait être commercialisé dans certains pays dès le troisième trimestre 2009.



À propos de Nokia

Premier fabricant mondial de terminaux mobiles en termes de parts de marché, Nokia est également un leader dans la convergence des métiers de l'Internet et des communications. Notre vaste gamme de mobiles grand public et nos services Internet garantissent aux utilisateurs une expérience optimale dans les domaines suivants : musique, navigation, multimédia, messagerie et jeux. Nous proposons également des solutions de cartographies numériques et de navigation complètes via NAVTEQ, ainsi que des équipements, des solutions et des services pour les réseaux de télécommunications via Nokia Siemens Networks.

Orange fête son premier million de clients iPhone en France à l’occasion de Roland-Garros

iPhone

- En mai 2009, Orange compte plus d’un million de clients iPhone.

- A cette occasion, Orange offre l’application Roland-Garros pour iPhone en consultation illimitée notamment à tous ses clients possédant un forfait ou une option iPhone*.

- L’application Roland-Garros pour iPhone Orange permet de suivre les internationaux de France de tennis en direct et en multiplex. Elle complète la gamme des applications spécifiquement développées par Orange pour ses clients iPhone comme Liveradio, SpotFinder ou la TV d’Orange.



Orange offre Roland-Garros en illimité à ses clients iPhone



A compter du 23 mai, Orange propose à tous ses clients iPhone de télécharger sur l’App Store sa nouvelle application Roland-Garros.

Ils pourront alors bénéficier de tous les services et contenus de cette application déjà disponible sur une large gamme de terminaux Orange.



L’application Roland-Garros pour iPhone permet d’accéder en qualité TV HD mobile :

- aux 5 principaux courts en direct (Ph. Chatrier, S. Lenglen, n°1, n°2, n°7)

- au programme et aux résultats de la journée en cours

- aux résumés vidéo des matchs et de la journée



L’application Roland-Garros pour iPhone est la 1ère application d’Orange donnant un accès à des contenus TV en
Wi-Fi, offrant ainsi une qualité optimale, quel que soit le réseau utilisé.



De nombreuses applications Orange développées et adaptées pour les clients iPhone d’Orange



Depuis son lancement en novembre 2007, Orange a développé différentes applications spécifiquement dédiées à ses clients iPhone :

- TV d’Orange pour accéder à plus de 60 chaînes TV en qualité TV HD mobile

- Liveradio pour écouter plusieurs milliers de webradios du monde entier en streaming

- Spot’finder pour trouver les HotSpots Wi-Fi les plus proches, par adresse ou par géolocalisation

- Mazonevidéo pour regarder et partager des vidéos sur le web et le mobile
Avec ses applications spécifiquement adaptées et développées pour l’iPhone, Orange souhaite apporter à ses clients la meilleure expérience de ses services en mobilité.



*Sous couverture Wi-Fi, les clients Orange ont accès au contenu de l’application Roland-Garros en métropole. Sur réseau mobile Orange, seuls les clients détenteurs : a) d’une offre pour iPhone, ou b) d’une offre intégrant internet en illimité ou c) d’une option multimédia éligible ont accès au contenu de l’application Roland-Garros en métropole.

Pouvoir d’achat : The Phone House s’engage !

The Phone House

Un objectif clair : faire économiser tout de suite au moins 100 €
par an par foyer sur les dépenses d’équipements et
d’abonnements télécom.




30 millions de Français estiment payer trop cher leurs équipements et
abonnements télécom et souhaitent réduire leurs dépenses sur ce poste (Etude IFOP – Les Français face
à la crise. Mars 2009). The Phone House a décidé de leur apporter une réponse immédiate en
mobilisant à partir du 6 mai prochain l’ensemble de son réseau de boutiques pour aider les
consommateurs à réduire rapidement leur budget de téléphonie mobile, fixe et internet.



Faire jouer la concurrence



Après avoir opté pour un fournisseur principal pour leurs différents
services de télécommunications, la grande majorité des
consommateurs français ne fait plus jouer la concurrence alors que
chacun pourrait, de manière plus simple qu’il ne l’imagine,
économiser jusqu’à quelques centaines d’euros par an
(dégroupage, changement d’opérateur, forfaits bloqués, offres
groupées, comparaison des conditions générales de vente,
suppression des services redondants, etc.).



Face à cette situation et au contexte économique actuel, The
Phone House a décidé de mobiliser tout son réseau pour apporter
aux consommateurs des réponses immédiates et leur permettre
d’améliorer dès ce printemps 2009 leur pouvoir d’achat.



Concrètement, The Phone House leur propose de venir avec leurs
factures consulter sans frais un spécialiste dans l’un de ses
magasins.



Trouver la meilleure solution au juste prix



1000 conseillers commerciaux ont été spécialement formés et mis au service du pouvoir d’achat avec
un objectif simple et précis : faire économiser au moins100 €/an par foyer sur les dépenses télécoms
des consommateurs.

Comment ? En privilégiant un échange en face-à-face avec chaque client afin d’étudier leurs
factures, identifier leurs besoins et diagnostiquer les problématiques. Après avoir comparé les différentes
offres et calculé les économies potentielles qui pourront être réalisées, le conseiller commercial mettra
tout en œuvre pour apporter un conseil personnalisé dans le choix de produits et services de téléphonie
et multimédias, en fonction des habitudes de consommation de chacun.



Des exemples concrets



- Benjamin, 17 ans, avait jusque là opté pour le prépayé. Sa mère fait le compte des recharges
achetées le mois dernier, résultat : 30 € dépensés tout comme le mois précédent. Elle se
renseigne avec son fils auprès d’un conseiller The Phone House afin de voir si une autre formule
n’est pas plus adaptée, sachant que Benjamin souhaite par ailleurs s’offrir un nouveau
téléphone mobile mais son argent de poche est limité. La mère de Benjamin décide de
souscrire à un forfait bloqué (engagement 12 mois) à 16,90 €/mois et son fils peut alors
bénéficier d’un mobile tactile pour 1 € alors que son prix de vente est normalement de 219 € en
carte prépayée.

Au total, une économie de 375 € sur l’année (sur le tarif du forfait et du prix du téléphone).

Le forfait proposé par les experts The Phone House : forfait bloqué Virgin à 16,90 €/mois pour 45
mn de communication + sms à 10 cts 24h/24, 7j/7 vers tous les opérateurs.




- Jean, célibataire de 35 ans, gros consommateur de téléphonie mobile que ce soit chez lui ou à
l’extérieur, a un forfait mensuel de 6 heures pour 85 €/mois. Comme il souhaite s’équiper en
ADSL après un déménagement récent, il vient chez The Phone House pour avoir une vue
complète et comparer les offres. Grâce aux conseils de notre expert, il choisit une offre ADSL
qui inclue 3 heures de communication depuis son domicile vers les mobiles. Il peut ainsi réduire
son forfait initial de téléphonie mobile à 3 heures/mois et prendre alors un forfait à 59 €/mois.

Au total, une économie de 312 € sur l’année sur son forfait mobile.

Le forfait ADSL proposé par les experts The Phone House : offre box de Bouygues Telecom avec
3h de communication vers les mobiles tout opérateur pour 29,90 €/mois.




« Agir en faveur du pouvoir d’achat » : « la » priorité de The Phone House pour son PDG, JeanPierre
Champion :




« Notre objectif est avant tout de faire jouer la concurrence car de nombreuses solutions
existent pour faire des économies sur le budget télécom mais elles sont méconnues de la
plupart des consommateurs. Le rôle de The Phone House, en tant que distributeur
indépendant et multi-opérateurs, est donc d’agir en faveur du pouvoir d’achat : en
conseillant nos clients au mieux de leurs intérêts, en les informant de leurs droits, en les faisant
profiter des dernières offres et des solutions les plus intéressantes en fonction de leur budget ».



A propos de The Phone House

Avec plus de 320 magasins et 1 600 collaborateurs dans toute la France, The Phone House est le n°1 de la distribution
indépendante en télécommunications en France. Grâce à son approche multimarques, The Phone House a
développé une expertise unique sur l'ensemble des segments du marché des télécoms : téléphonie mobile 2G et
3G, téléphonie fixe, accès Internet haut débit, offres double, triple et quadruple play, offres duales GSM-Wi-Fi et
maintenant ordinateurs mobiles. The Phone House France est une filiale de Best Buy Europe. Fondée sur sa totale
indépendance envers les constructeurs, opérateurs et intermédiaires, la stratégie de The Phone House France est
basée sur la priorité donnée au client et l'impartialité du conseil.

Pour plus d’informations sur The Phone House, visitez : www.phonehouse.fr

Et venez échanger sur le blog www.generation-phonehouse.fr

Alcatel-Lucent et 1020 Placecast proposent un service de publicité mobile localisé aux marques et aux fournisseurs de réseau

Alcatel

Une solution évolutive qui permet d’envoyer des publicités et des messages localisés aux clients, quand et où ils le souhaitent



Alcatel-Lucent (Euronext Paris et NYSE : ALU)et 1020 Placecast, le principal fournisseur de solutions de publicité localisées et inter-plateformes, annoncent qu’ils vendront ensemble aux marques et aux fournisseurs de services un service localisé unique – hébergé par Alcatel-Lucent – permettant d’envoyer des messages et des publicités pertinentes aux utilisateurs mobiles qui s’inscrivent à ce service.



Ensemble, 1020 Placecast et Alcatel-Lucent proposent un service de bout-en-bout afin d’aider les marques à toucher de façon inédite leurs audiences cibles, où qu’elles se trouvent. Pour fournir ce service, 1020 Placecast utilise son moteur publicitaire unique afin de glisser des informations localisées dans des messages hautement pertinents. Les marques et les agences de publicité peuvent ainsi créer des campagnes marketing de proximité évolutives qui sont envoyées aux utilisateurs de terminaux mobiles aux formats SMS et MMS. En utilisant sa plate-forme de services de messagerie localisés (GMSP) comme un service hébergé, Alcatel-Lucent relève l’emplacement des personnes inscrites au service pour le compte du fournisseur et leur envoie le contenu mobile au moment et à l’endroit qui convient – en fonction de la campagne publicitaire développée et gérée par la plate-forme 1020 Placecast.



Le service réseau peut prendre en charge des millions d’abonnés – c’est-à-dire beaucoup plus que les produits concurrents actuellement sur le marché – et permet donc aux fournisseurs de services et aux professionnels du marketing d’effectuer de réelles campagnes marketing de proximité. Il crée un environnement dans lequel les fournisseurs de services et les annonceurs peuvent s’associer pour développer et fournir une nouvelle génération de services publicitaires mobiles rémunérateurs. D’après le rapport « Mobile Advertising: The Service Provider Revenue Opportunity » publié par Heavy Reading Research, ce marché devrait représenter près de 5 milliards de dollars dans le revenu des fournisseurs de services américains en 2011.



Grâce à cette offre commune, les fournisseurs de services mobiles peuvent par exemple proposer aux particuliers un service à inscription sur demande (opt-in) pour recevoir un message mobile offrant une remise dans un commerce situé sur le trajet de leur travail. Le message peut contenir l’adresse du magasin, son numéro de téléphone, sa proximité par rapport à l’abonné, et d’autres contenus développés par la marque et l’opérateur. Pour les abonnés, le fait de recevoir des messages et des publicités des marques qui les intéressent – au moment et à l’endroit qui conviennent – enrichit l’expérience mobile. Les publicités peuvent atteindre plus efficacement l’audience qu’elles visent, ce qui génère des dépenses publicitaires accrues auprès des fournisseurs de services.



« L’un des principaux avantages du marketing mobile est la précision du ciblage localisé propre aux réseaux de communication et aux équipements mobiles », a déclaré Michael Boland, directeur de programme Mobile Local Media chez The Kelsey Group, important fournisseur d’études publicitaires locales, d’analyses, de données et de mesures de la concurrence. « L’association du service de localisation d’Alcatel-Lucent et du moteur publicitaire localisé de Placecast devrait permettre de fournir des publicités plus pertinentes et plus efficaces. »



Gani Nayak, Président de l’activité Communications Enrichies d’Alcatel-Lucent, a ajouté : « Cette offre permet aux opérateurs et aux marques qu’ils soutiennent de créer une expérience mobile personnalisée et extrêmement pertinente, avec un retour sur investissement immédiat. Elle associe la technologie de délimitation géographique (geofencing) hors pair d’Alcatel-Lucent – qui supporte des millions de délimitations virtuelles – avec la plate-forme de publicité localisée exceptionnelle de Placecast pour lancer des campagnes de marketing mobile de proximité et de grande envergure. »



Disponible en Amérique du Nord, ce service clés en main envoie automatiquement des messages et des publicités sur tout type de terminal et d’écran mobiles, sans aucun investissement de la part des fournisseurs de services. Les abonnés s’inscrivent simplement au service et sélectionnent le type d’offres et de messages qu’ils souhaitent recevoir. La confidentialité est préservée car leur emplacement exact n’est jamais révélé – le système relève uniquement qu’ils ont pénétré une zone géographique donnée.



« La technologie d’Alcatel-Lucent nous permet de déclencher l’envoi d’un message marketing personnalisé à un abonné inscrit dès lors qu’il entre dans une zone particulière », a déclaré Alistair Goodman, directeur général de 1020 Placecast. « Ceci permet de créer un lien direct entre le monde mobile et le monde réel. Nous sommes ravis de travailler en partenariat avec un fournisseur de solutions aussi bien établi sur le marché et d’offrir aux opérateurs la meilleure solution de ciblage et de distribution pour le marketing et la publicité mobiles localisés. »



À propos de 1020 Placecast, Inc.

1020, Inc. est le développeur et le propriétaire de Placecast™ Media, la première solution de publicité en ligne permettant d’atteindre des audiences très recherchées au moyen d’informations localisées, via le web, des terminaux mobiles et le Wi-Fi. Le service révolutionnaire Placecast de 1020 a récemment remporté le prix « OnMedia Top 100 », qui est décerné aux entreprises les plus innovantes dans les domaines du marketing, des marques, de la publicité et des RP. Les annonceurs actuels comprennent Microsoft Windows Mobile, FedExOffice, Avis and Budget Rental Cars et Hyatt Hotels. 1020 est financé par Voyager Capital et Onset Ventures. Pour plus d’informations sur Placecast, consultez le site www.placecast.net.

La double-commodité de l’Acer DX900 vient vers vous

Acer

Le premier téléphone intelligent du monde avec Windows Mobile possédant des capacités double-SIM 2G et 3G est désormais disponible



Acer, le troisième fournisseur mondial d’ordinateurs, a récemment fait son entrée sur le marché des communications mobiles avec la série de téléphones intelligents Acer Tempo, une gamme de cinq téléphones intelligents à écran tactile. La gamme a été présentée au cours du Congrès Mondial Mobile à Barcelone et elle a été bien accueillie.



Le premier appareil de cette série est l’Acer DX900, le premier téléphone intelligent du monde sous Windows Mobile avec double-SIM et double-veille supportant les connexions 2G et 3G. Il est conçu pour les consommateurs ayant besoin d’un accès à deux numéros mobiles mais souhaitant éviter l’inconvénient de deux appareils à transporter. Le DX900 s’adresse aux professionnels et aux consommateurs faisant un grand usage des technologies mobiles. Il répond aux besoins des personnes voyageant souvent, qui peuvent utiliser une carte SIM dans leur pays de résidence et une autre carte SIM au cours de leurs voyages à l’étranger. Il est disponible dans la région EMEA et sur la plupart des marchés asiatiques.



Avec un niveau de prix concurrentiel, le DX900 est parfait pour les consommateurs à la fois attentifs au prix et exigeants. L’option de double SIM donne aux consommateurs la liberté de choisir un nouveau forfait mobile tout en maintenant le numéro de téléphone précédent ou de réduire les factures mensuelles en associant différents forfaits pour les appels et les données.



L’Acer DX900 est également parfait pour les entreprises à la recherche d’une meilleure productivité des employés tout en permettant une réduction globale des coûts de leurs factures de téléphone. Cet appareil permet aux utilisateurs de gérer leurs activités professionnelles quotidiennes et de rester productifs avec un accès 24h/24 et 7j/7 au courrier électronique professionnel avec le client de messagerie Outlook Mobile et avec l’édition professionnelle Windows Mobile® 6.1 présentant toute une série de programmes (Outlook, Word, Excel et PowerPoint).



L’écran tactile LCD VGA de 2,8 pouces offre une résolution élevée et des couleurs éclatantes ; il améliore la productivité en facilitant la navigation sur l’Internet ou la lecture de documents en déplacement. L’appareil photo autofocus de 3.0 mégapixels et une webcam VGA en façade pour les appels vidéo permettent des communications et une imagerie multimédia de qualité sur un seul appareil.

L’innovation Orange au cœur de l’édition 2009 de Roland-Garros

Coffret Roland-Garros Orange

- Du 24 mai au 7 juin 2009, Orange fera découvrir à ses invités deux innovations majeures : la 3D relief (en association avec France Télévisions) et 24/24 actu, le 1er moteur TV – presse – radio, 100% info

- Orange renouvellera son dispositif « Tennis Everywhere » sur TV, PC et mobiles, s’appuyant notamment sur l’offre de chaînes événementielles de France Télévisions

- … et très prochainement, Orange annoncera deux autres dispositifs innovants : l’un concernant également la 3D et un autre la TV sur mobile…




Comme chaque année, le Tournoi international de Roland-Garros est l’occasion pour Orange de présenter de nouveaux services exclusifs et en avant-première.



- Orange fera découvrir à ses invités 24/24 actu, le nouveau service internet exclusif qui permettra dans les prochains mois à l’ensemble des internautes d’accéder au premier moteur TV, presse, radio, 100% info. 24/24 actu est un moteur de recherche d’actualités multimedia d’un nouveau genre qui permettra d’accéder à une pluralité de sources d’information au sein d’un seul et unique service.



- Orange réitèrera également, en partenariat avec France Télévisions, radiodiffuseur hôte du Tournoi, l’expérience de la TV 3D en relief du 31 mai au 7 juin. Les deux partenaires vont ainsi mettre en place, pendant la deuxième semaine du Tournoi, une chaîne 3D en direct pour tous les matchs du court central (Philippe Chatrier) jusqu’à la finale. Cette chaîne sera visible sur des téléviseurs 3D répartis sur le site de Roland-Garros ainsi que dans 5 boutiques Orange en France (Bordeaux, Lille, Nantes, Paris Champs-Elysées, Paris Madeleine)



- A l’occasion des Internationaux de France, Orange lance en coffret Roland-Garros « Le Tactile » proposé à partir de 9€ avec les forfaits bloqués Zap et M6 mobile by Orange et à 69€ avec la mobicarte.



- Ecran tactile 2,4 pouces

- Bluetooth

- Radio FM avec pré-enregistrement des stations

- Appareil photo 1,3 Mega-pixels avec zoom x3

- Menu ergonomique aux icones dynamiques



Le dispositif Tennis Everywhere : pour suivre toute l’actualité de Roland-Garros



Pour la 6e année consécutive, Orange déploie son dispositif « Tennis Everywhere » qui permet à ses clients de suivre les matchs sur leur téléviseur, leur ordinateur ou leur mobile), grâce notamment au partenariat conclu avec France Télévisions pour la distribution des chaînes événementielles.



- Orange sport info



La chaîne d’information sportive interactive se met aux couleurs du tournoi et proposera chaque jour, de 10h30 à 20h30 :



- des flashs infos en direct toutes les 30 minutes pour tout savoir sur l’actualité de la compétition : résultats, réactions d’après match, commentaires sur les matchs en cours…

- 4 émissions quotidiennes, « Bienvenue à Roland-Garros » présentées par Lorie Delhostal et Ludovic Derouin, pour faire le point sur le programme, les résultats et les faits marquants de chaque journée de tournoi, avec des reportages et des interviews.

Orange sport info est disponible sur la TV d’Orange, sur orange.fr, ainsi que sur le portail mobile Orange World. Par ailleurs, la chaîne est distribuée sur le bouquet satellite BIS TV.



Parallèlement à la chaîne Orange sport info, Orange propose à ses clients un dispositif unique sur ses 3 plateformes pour vivre pleinement le Tournoi de Roland-Garros, en s’appuyant notamment sur l’offre de chaînes événementielles éditée par France Télévisions :



- sur la TV d’Orange*



9 chaînes événementielles sont consacrées à Roland-Garros :



- 7 chaînes (canaux 74 à 80) éditées par France Télévisions, pour suivre l’intégralité des matchs des 7 principaux courts, en direct et en qualité numérique ;

- 1 chaîne mosaïque (canal 72), pour visionner en direct et en simultané les sept courts ;

- 1 chaîne « News » interactive : Roland-Garros 360° (canal 73), qui permet d’accéder à de nombreuses informations : le programme du jour, tous les résultats, les flash info, les fiches de joueurs, les statistiques en temps réel, des magazines exclusifs… Cette chaîne offre un accès direct à une sélection de matchs de légende (99 centimes/match) et au magazine « Roland-Garros sans filet» disponible gratuitement en VoD.

Les clients éligibles à la TV en Haute Définition en ADSL ou en fibre optique pourront suivre les matchs des courts Philippe Chatrier et Suzanne Lenglen en qualité Haute Définition.



- sur les mobiles Orange



Les clients mobile d’Orange pourront suive en intégralité l’édition 2009 du tournoi de Roland-Garros sur le portail Orange World



- 5 chaînes éditées par France Télévisions, pour suivre en direct et en simultané les matchs des principaux courts.

- des vidéos à la demande pour suivre toute l’actualité Roland-Garros : programme de la journée, résumés des principaux matchs, des flashs d’information en continu, des magazines.

- l’offre mobile Orange World comprend également tous les résultats des matchs, les statistiques, le suivi des rencontres en temps réel point par point
Orange a par ailleurs développé une application mobile dédiée à l’événement, disponible sur une large gamme de terminaux.

L’application Roland-Garros permet un accès rapide aux contenus et au multiplex qui permet de suivre jusqu’à 5 matchs en direct.



Pour télécharger cette application mobile, 3 moyens sont mis à disposition des clients Orange :



- par SMS : envoyer « TENNIS » au 24000 (prix d'un SMS),

- sur Orange World : dans la rubrique utile > Applications

- sur le web : http://applimobile.orange.fr depuis le navigateur mobile ou internet.

Les flux TV (matchs en direct), VoD (résumés,…) et données (scores, programmes,...) sont inclus dans les options multimédia (internet, internet max, TV, TV max,…) ou disponibles en session multimédia : 50 centimes/20 min pour surfer ou 90 centimes/20 min pour regarder la TV et les VoD.



- sur orange.fr



- Les internautes pourront accéder gratuitement en un simple clic à tout l’univers de Roland-Garros, avec notamment la diffusion en direct des matchs des 7 principaux courts en mode streaming haut débit grâce aux chaînes événementielles de France Télévisions, ainsi que 3 résumés quotidiens en VoD (résumé de la journée, l’image du jour et « la quotidienne »).

- Également en VoD, sur 24/24 Vidéo, les clients d’Orange pourront découvrir 16 matchs de légende (49 centimes/match) ainsi qu’un magazine quotidien gratuit sur l’actualité de la compétition.

- Une couverture éditoriale complète sera proposée aux internautes avec des articles, les évolutions des scores en temps réel, des analyses et un scan de dépêches en continu.



*Le dispositif Roland-Garros sur la TV d’Orange est disponible uniquement pour les clients de la TV d’Orange par ADSL

mardi 19 mai 2009

Le téléphone intelligent universel X960 d’Acer est en route

Acer

Acer, le troisième fournisseur mondial d’ordinateurs, fait d’énormes progrès sur le marché des communications mobiles avec la série de téléphones intelligents Acer Tempo, une gamme de téléphones intelligents à écran tactile s’adressant aux utilisateurs dont les vies personnelles et professionnelles se mélangent. La gamme a été présentée à Barcelone en février dernier au cours du Congrès Mondial Mobile et elle sera bientôt disponible au printemps sur les marchés européens et asiatiques.



L’Acer X960, un téléphone intelligent sous Windows Mobile 3G, avec un écran tactile VGA haute résolution, se présente dans un format compact avec une navigation aisée au doigt. Avec un accès simple et rapide à la recherche sur l’Internet, aux signets web préférés, aux courriels, aux pièces-jointes et aux fonctions GPS/cartes, le X960 est un téléphone intelligent polyvalent qui vous aidera tout au long de votre journée de travail tout en ayant la possibilité de regarder une vidéo ou d'écouter de la musique quand vous avez un moment.



Le X960 dispose d'une interface utilisateur conviviale et intuitive se basant sur les widgets. Les utilisateurs peuvent positionner ces widgets à leur guise sur le bureau afin d'accéder instantanément à leurs fonctions préférées. Consultez le temps dans le monde entier et les fuseaux horaires avec une animation en 3D frappante. Feuilletez vos albums photo ou partagez des images et des présentations de diapositives d’un geste du doigt. Passez en revue vos collections de CD et écoutez la musique version juke-box. Dans le carnet d’adresses, les photos simplifient l’accès à vos contacts et permettent de passer facilement des appels d'un seul geste. Les signets offrent un accès instantané aux sites web que vous consultez le plus souvent. De plus, le clavier Easy Keyboard d'Acer simplifie la saisie des messages.



Avec un écran tactile VGA de 2,8 pouces, haute résolution et ultra net, ainsi qu’une touche de navigation dans cinq directions facile à utiliser, l’Acer Tempo X960 est un vrai plaisir. Cet appareil compact, mince et puissant avec un élégant contour noir et argent est équipé d’un appareil photo de 3.2 mégapixels avec flash. La connectivité 3.5G haut débit permet une expérience totale en ligne avec une riche transmission multimédia en continu et des options de recherche instantanée où que vous alliez. Grâce au GPS intégré, le X960 est un merveilleux compagnon de voyage. Organisez votre vie mobile avec l’Acer X960 entièrement équipé et disponible dès maintenant.

Orange Business Services inaugure un centre dédié au « Machine-to-Machine » pour les entreprises internationales

Orange


Création de l’International M2M Center (IMC), une entité basée à Bruxelles au sein de Mobistar, dédiée aux services de communications « Machine-to-Machine » (M2M) pour les entreprises internationales.

Pour Orange Business Services, l’ouverture de l’IMC est une étape de sa stratégie « Real Time Business », visant à développer des solutions de communication temps réel pour ses clients multinationaux. Avec l’IMC, Orange Business Services confirme sa volonté de figurer parmi les leaders mondiaux du M2M.



Un accompagnement unique des clients sur les services de communications M2M partout dans le monde



Avec plus d’un million de cartes SIM M2M actives en Europe, des réseaux mobiles dans 29 pays et un réseau fixe sans couture dans 220 pays et territoires, Orange Business Services est un leader de la connectivité M2M.

Afin de répondre aux besoins du marché M2M, Orange Business Services développe son expertise et son support aux clients dans le domaine de la connectivité en créant l’IMC. D’envergure internationale, l’IMC s’adresse ainsi aussi bien aux OEM (Original Equipement Manufacturers) qui intègrent les technologies M2M à leurs produits et services, qu’aux entreprises ayant une activité internationale.
Orange Business Services a décidé de s’appuyer sur les compétences reconnues de Mobistar, filiale d’Orange, en matière de connectivité M2M pour la création de ce centre.



Des solutions de connectivité sur-mesure et de bout-en-bout



Pour fournir les services les plus appropriés aux entreprises dans le domaine du M2M, l’IMC propose une approche flexible et entièrement intégrée pour chaque client. L’accompagnement va ainsi du conseil au service après-vente des solutions.



L’IMC fournit une carte SIM globale et des offres de communications spécifiques aux applications M2M en s’adaptant au business, au fonctionnement et aux enjeux de chaque entreprise qui souhaite recourir à ces solutions au niveau mondial.



Aujourd’hui, les applications M2M couvrent des domaines aussi variés que la gestion de flotte de véhicules, les télé-relevés de compteurs, la maintenance à distance d’appareils…et s’adressent à tous les secteurs d’activité et aux entreprises de toutes tailles.



L’IMC regroupe des compétences en conseil, innovation, intégration et gestion de projet, et s’appuie sur sa connaissance pointue de l’écosystème du M2M. Sa capacité d’innovation est amplifiée par les ressources des Orange Labs.
Ces expertises lui permettent aujourd’hui d’annoncer la signature d’un premier client, i-Axes.

Selon Barbara Dalibard, Directeur Exécutif d'Orange Business Services : « Le M2M est au cœur de notre stratégie: nous en avons été un précurseur et nous disposons aujourd'hui d'une longueur d'avance dans ce domaine. A l'heure où le marché commence réellement à décoller, nous sommes prêts à proposer à nos clients les solutions les mieux adaptées. L'ouverture de ce centre international dédié au M2M à Bruxelles en est la preuve. »



Orange Business Services travaille par ailleurs à la définition d’une nouvelle génération de cartes SIM M2M dans le cadre de son programme de standardisation des technologies M2M.



A propos de Mobistar

Mobistar (EURONEXT BRUXELLES: MOBB) est l'un des principaux acteurs du monde des télécommunications en Belgique et au Luxembourg, actif en téléphonie mobile, en téléphonie fixe, en ADSL et sur d'autres marchés à fort potentiel de croissance. Des produits et services innovants sont développés pour le marché résidentiel et pour celui des professionnels. Mobistar est cotée à la Bourse de Bruxelles et fait partie du groupe France Télécom.

lundi 18 mai 2009

Le kit mains-libres bluetooth pare-soleil HF-310 de Nokia, le plaisir du sans fil !

kit mains-libres bluetooth pare-soleil HF-310

Nokia présente le kit mains-libres Bluetooth HF 310. Facile d’utilisation, il est spécialement conçu pour s’adapter à toutes les exigences de mobilité. Grâce à ses 3 fixations différentes, il trouve naturellement sa place dans la voiture : sur le pare-soleil, sur le tableau de bord ou encore sur le pare-brise. Il est aussi possible de l’utiliser au bureau et à la maison. Petit, léger, discret et très design, il s’accorde parfaitement à tous les univers High Tech environnants.



Le kit main-libres HF 310 est doté des fonctions de réduction d’échos et de bruits ambiants. Le contrôle complet des appels se gère d’une simple pression sur la touche centrale. En cas de non utilisation de l’appareil, il s’éteint automatiquement. Le kit mains-libres fonctionne avec une batterie rechargeable, soit par secteur, soit par allume-cigare.



Ce produit est disponible depuis le mois d’Avril 2009, il est commercialisé au prix de 79 euros TTC.



À propos de Nokia

Premier fabricant mondial de terminaux mobiles en termes de parts de marché, Nokia est également un leader dans la convergence des métiers de l'Internet et des communications. Notre vaste gamme de mobiles grand public et nos services Internet garantissent aux utilisateurs une expérience optimale dans les domaines suivants : musique, navigation, multimédia, messagerie et jeux. Nous proposons également des solutions de cartographies numériques et de navigation complètes via NAVTEQ, ainsi que des équipements, des solutions et des services pour les réseaux de télécommunications via Nokia Siemens Networks.

Samsung et Bouygues Telecom lancent le Samsung Galaxy, le premier téléphone mobile Samsung sous Android

Bouygues Telecom

Lancé début juillet en avant-première par Bouygues Telecom, le Samsung Galaxy animé par le système d’exploitation Androïd invite l’utilisateur à une nouvelle expérience de l’Internet mobile à partir des multiples applications de Google.



Bouygues Telecom sera le premier opérateur à accueillir dans sa gamme de terminaux le Samsung Galaxy dès le mois de juillet dans les 580 clubs Bouygues Telecom, sur la boutique en ligne www.bouyguestelecom.fr, et chez tous les revendeurs Bouygues Telecom .



Ultracommunicant (WiFi, 3G+, GPS), ergonomique (écran tactile AMOLED 3,2’’) et multimédia (navigation Internet fluide et rapide, appareil photo 5 millions de pixels, lecteur audio/vidéo, mémoire interne de 8Go) le Samsung Galaxy sera disponible avec l’ensemble des offres de Bouygues Telecom, notamment avec le forfait neo.2 qui inclut un accès illimité à l’internet mobile, 7j/7 et 24h/24.



Samsung Galaxy, tout l’univers de l’internet mobile

Samsung Galaxy s’inscrit au cœur des nouveaux modes de vie. Plus qu’un téléphone, il incarne les futurs terminaux mobiles, véritables épicentres de votre environnement numérique. Son design en métal noir brossé, tout en finesse, porte la griffe Samsung, l’essence de l’élégance pure. Son
écran AMOLED de 3,2 pouces restitue des couleurs riches et intenses tout en consommant moins d’énergie (17% d’économie par rapport à un écran TFT). Cette nouvelle génération d’écran ultra-lumineux garantit un affichage de haute qualité pour l’ensemble des contenus multimédias, et une expérience tactile hors du commun. Même en plein soleil, la lisibilité reste optimale quelque soit l’angle de vision.



Beau à l’extérieur, ingénieux à l’intérieur, Samsung Galaxy est doté d’une interface particulièrement fluide pour surfer sur Internet en toute simplicité et rester à tout moment connecté. Rechercher une information, retrouver son chemin, gérer son agenda, consulter ses mails, y répondre à partir du clavier virtuel AZERTY, visionner des vidéos, partager ses albums photos… tous les services en ligne de Google sont instantanément accessibles.



Une recherche Web rapide et efficace

Actualités, images, vidéos, météo, numéros de téléphone, adresses, cartes …. l’information recherchée s’affiche en un clic : toute la puissance de Google à portée de main grâce à la barre de recherche qui permet de gagner du temps en facilitant la saisie de requêtes. Les sites les plus visités apparaissent en miniatures tandis que la fonction loupe permet de zoomer dans la page sélectionnée.



Retrouver son chemin

Le récepteur GPS embarqué permet d’exploiter pleinement les applications de Google MapsTM, telles My LocationTM, Google LattitudeTM ou encore Street ViewTM, pour s’orienter ou obtenir un itinéraire détaillé en toute simplicité. Le système de géolocalisation détermine la position du mobile et calcule en fonction l’itinéraire.
Il est également possible d’utiliser l’imagerie par satellite et la fonctionnalité Street View pour explorer les quartiers. Une boussole numérique intégrée permet de changer d’angle de vue en fonction de la position du mobile.



Rester connecté pendant ses déplacements grâce à Gmail

L’ensemble des messages s’affiche dans la boîte e-mail dès leur réception et, si l’utilisateur le souhaite, une alerte située dans la barre d’état système l’informe de l’arrivée d’un nouveau mail. Grâce à la saisie semi-automatique, Gmail permet d’inscrire rapidement de longues adresses e-mail. Il est tout aussi aisé d’ouvrir les pièces jointes des messages (photos, documents Word, PDF et fichers MP3). Gmail bénéficie également du filtrage anti-spam, des fonctionnalités de recherche, des libellés et du suivi, sans oublier l’important espace de stockage.



Chatter avec ses amis

Samsung Galaxy permet de chatter avec ses amis en temps réel, de mettre à jour son message et de vérifier la disponibilité de ses contacts. On peut ainsi profiter des mêmes fonctionnalités que sur son ordinateur. Google Talk sur Android permet de passer facilement d’une discussion à l’autre, ou même de lancer un chat en groupe avec plusieurs amis en même temps.



Des millions de vidéos dans la poche

Samsung Galaxy offre l’accès à un catalogue impressionnant de vidéos You Tube : des millions de vidéos à parcourir, visionner, rechercher par mot clé, classer dans des listes personnalisées ou à partager avec ses amis en envoyant des e-mails contenant des liens vers ces vidéos. Connecté et multimédia, Samsung Galaxy permet de filmer ses propres vidéos et de les poster directement sur You Tube. Grâce à sa connexion haut débit HSDPA, 40s seulement sont nécessaires pour télécharger une vidéo de 40Mo.



Rester à jour avec Google Agenda

Google Agenda permet d’afficher son agenda de la journée, de la semaine, du mois ou son planning et de le synchroniser avec son ordinateur. Il est possible de créer des événements ou des rappels qui s’afficheront directement sur l’écran d’accueil du smartphone Samsung Galaxy.



Android Market

Plusieurs milliers d’applications gratuites ou payantes sont également téléchargeables depuis la plateforme Android Market, comme par exemple WikitudeTM, guide de voyage en ligne permettant d’accéder aux informations touristiques publiées sur Wikipedia. Par géolocalisation et par simple reconnaissance visuelle du paysage ou du monument photographié par le mobile, les données historiques, géographiques et culturelles s’affichent instantanément en surimpression sur l’écran.



Un bureau trois fois plus grand

Smartphone à la pointe du progrès, Samsung Galaxy est doté d’un écran d’accueil étendu en trois volets pour faciliter la navigation, la personnalisation et la visualisation des applications et widgets de son choix. Le Samsung Galaxy propose ainsi une surface d’affichage du bureau démultipliée. Une extension à gauche et à droite extrêmement fluide. Un icone au bas du bureau permet d’accéder instantanément à la bibliothèque des applications installées.



Pleinement multimédia

Son appareil photo de 5 millions de pixels, ses nombreux formats de codecs, une batterie longue durée de 1 500 mAh, et, une capacité de mémoire interne généreuse de 8 Go (extensible jusqu’à 40Go) permettent de profiter pleinement de toutes les applications et contenus multimédias.

jeudi 14 mai 2009

Unitech Wireless choisit Alcatel-Lucent pour déployer un réseau GSM/EDGE en Inde

Alcatel

Alcatel-Lucent (Euronext Paris et NYSE : ALU) annonce avoir été retenu par l’opérateur indien Unitech Wireless pour l’aider à lancer sa première offre de services mobiles GSM/EDGE. Alcatel-Lucent déploiera ses réseaux GSM/EDGE clé en main dans les cercles du Kerala et de l’Orissa.



Selon les termes du contrat, Alcatel-Lucent assurera la conception, le déploiement et la maintenance de sa solution d’accès radio GSM/EDGE multistandard leader du marché, qui comprend sa nouvelle plate-forme de contrôleur de station de base et ses modules « TWIN TRX » ainsi qu’un cœur de réseau mobile de nouvelle génération (NGN). Alcatel-Lucent déploiera le réseau d’Unitech Wireless et en assurera la gestion opérationnelle dans le cadre d’un contrat de services de gestion complet. Alcatel-Lucent fournira également une suite de services comprenant la gestion du projet, la conception du réseau, l’intégration, les tests, l’installation, la maintenance, la planification et l’optimisation radio de réseaux multi-vendeurs.



« Nous remercions vivement Unitech de sa confiance et sommes impatients de travailler en partenariat pour déployer, gérer, maintenir et développer leur réseau », a déclaré Vivek Mohan, en charge des activités d’Alcatel-Lucent en Inde. « Notre supériorité pour la livraison rapide de solutions radio GSM/EDGE de nouvelle génération et notre capacité à offrir une assistance prompte à nos clients afin d’assurer de manière transparente les évolutions futures vers la 3G et au-delà, constituent des atouts uniques qui seront essentiels à la réalisation des déploiements ambitieux de Unitech Wireless. »



Ce nouveau projet souligne la forte présence d’Alcatel-Lucent sur le marché indien des réseaux mobiles et sa capacité à fournir des solutions compétitives, tout en assurant localement des services de support de haute qualité.



« Nous sommes convaincus que l’expérience considérable d’Alcatel-Lucent en fourniture de solutions de réseaux mobiles économiques, entièrement intégrées et clés en main nous permettra de répondre à la demande croissante de services mobiles en Inde », a ajouté Rohit Chandra, directeur des Opérations de Unitech Wireless. « Outre ses solutions GSM/EDGE de pointe, la grande capacité d’Alcatel-Lucent à pouvoir offrir un service local ont influencé de manière déterminante notre décision. »



Alcatel-Lucent est un acteur majeur du marché GSM/EDGE mondial, avec plus de 190 clients dans plus de 100 pays. Il est également leader mondial dans les domaines de l’intégration réseau, de la maintenance multifournisseurs et de l’optimisation des réseaux.



A propos d’Alcatel-Lucent

Alcatel-Lucent (Euronext Paris et NYSE: ALU) est le partenaire privilégié des fournisseurs de services, des entreprises et des administrations du monde entier, leur offrant des services voix, données et vidéo pour leurs propres utilisateurs et clients. Leader dans les réseaux haut débit fixes, mobiles et convergés, les technologies IP, les applications et les services, Alcatel-Lucent s'appuie sur l'expertise technique et scientifique unique des Bell Labs, une des plus grandes organisations de recherche de l'industrie des communications. Avec une présence dans 130 pays, et l'équipe de service la plus expérimentée de l'industrie, Alcatel-Lucent est un partenaire local avec une dimension internationale. Alcatel-Lucent qui a réalisé des revenus de 16,98 milliards d'euros en 2008, est une société de droit français, avec son siège social à Paris. Pour plus d’informations, visitez le site d’Alcatel-Lucent à l’adresse www.alcatel-lucent.com

DidUnozat, SOS, DroidTracker, Andropan, Hi-Hicker: les 5 applications lauréates du concours Android SFR Jeunes Talents Développeurs

SFR

A l’occasion de la commercialisation du premier terminal sous OS Android chez SFR, le HTC Magic, l’opérateur a organisé le concours "SFR Jeunes Talents Développeurs", le 1er concours de développement Android. A cette occasion, plus de 100 projets ont été déposés sur le site www.sfrjtd.fr entre le 10 mars et le 26 avril.



La vocation de ce concours est d’aider et d’encourager de jeunes talents à la création de nouveaux services utiles sur mobiles. SFR conforte ainsi ses ambitions d’opérateur innovant en se positionnant comme pionnier et animateur principal de la communauté Android en France. Cette plateforme open source permet aux développeurs de s’exprimer pleinement.



A l’issue d’une sélection réalisée par un jury d’experts (spécialistes Android et open source, accompagnateur de Start Ups et sociétés de développement d’applications sur mobile), 4 lauréats ont été récompensés ce mercredi 13 mai au Studio SFR. A cette occasion, le jury avait aussi sélectionné 10 applications pour concourir au "Prix du Public". Chacune de ces applications a été présentée par son développeur et le public a pu s’exprimer en votant en direct pour le gagnant de son choix.



En complément des 4 lauréats, le jury a souhaité distinguer par une mention spéciale 3 applications : "Wikitude" avec la mention de l’application la plus aboutie et 2 mentions spéciales Open Source, la "boite à outils" Android la plus intéressante "Restlet", et le meilleur exemple de code pour les développeurs Android "Shelves".



Les 5 lauréats seront accompagnés dans la valorisation de leur création et ceux élus par le jury se partageront la dotation de 50K€ (1ère place : 20 000€, 2ème : 15 000€, 3ème : 10 000€, 4ème : 5 000€).



Retrouvez toutes les informations sur ces applications sur le site www.sfrjtd.fr ou depuis votre HTC Magic via l’icône Vodafone.

Avec ideo, Bouygues Telecom invente les Tout-en-un, le meilleur du mobile et de la box

ideo Bouygues Telecom

Avec ideo, Bouygues Telecom invente les Tout-en-un le meilleur du mobile et de la box réunisLe 25 mai, Bouygues Telecom lancera ideo, les Tout-en-un qui proposent le meilleur du mobile et de la box à partir de 44,90€ par mois.



• Le client choisit son forfait mobile et profite en même temps de tous les services de la Bbox : téléphonie fixe, Internet, télévision



• Un interlocuteur unique est en mesure de répondre à toutes ses demandes : le meilleur service client en téléphonie mobile1 se réorganise pour répondre à cette innovation.



ideo les Tout-en-un s’inscrit dans l’histoire des grandes innovations de l’entreprise au bénéfice du consommateur : création du Forfait (1996), du premier illimité (Millenium, 1998) et de la première offre illimitée vers tous les opérateurs (neo, 2006).



Avec ideo, Bouygues Telecom agite une nouvelle fois le monde des communications électroniques.



ideo les Tout-en-un repose sur les trois promesses suivantes :



• Proposer le meilleur des deux mondes mobile et fixe pour un tarif inédit

• Faciliter la vie des clients

• Une télévision numérique enrichie



(1) Podium de la Relation Clients BearingPoint-TNS Sofres (avril 2008)



Proposer le meilleur des deux mondes mobile et fixe pour un tarif inédit



La simplicité



Dans le choix du forfait mobile



Le client choisit librement le forfait mobile qui lui convient le mieux, de 2h à 6h d’appels, avec ou sans plage de communications illimitées vers tous les opérateurs.
Quelle que soit la formule choisie, les SMS et MMS, le surf, les emails et la TV 3G+ sont illimités 24h/24.

Cette offre est disponible avec toute la gamme des terminaux de Bouygues Telecom.



Tous les services Bbox sont inclus



Accès à Internet haut débit (jusqu’à 20 Méga, Bbox wifi incluse).

Réception de la TV numérique en zones dégroupées (plus de 90 chaînes gratuites).

Appels illimités vers les numéros fixes (box incluses) 24h/24, 7j/7, en France métropolitaine et vers plus de 100 destinations internationales.

Pour 10€ de plus par mois, 3h d’appels depuis la Bbox vers les mobiles de tous les opérateurs.



Une tarification inédite



ideo est accessible à partir de 44,90€ pour un forfait 2 heures et tous les services de la Bbox2.

ideo permet de gagner jusqu’à 384€ par an3 sur son budget annuel.



(2) Engagement 24 mois (7€/mois de plus sur 12 mois). Mobiles : appels illimités depuis le mobile selon plage horaire jusqu’à minuit.Box : accessible selon éligibilité de votre ligne fixe (TV en zone dégroupée). Frais de résiliation fixe et dépôt de garantie du décodeur :49€ chacun.(3) Comparaison réalisée au 14.05.09 sur la base d’un engagement de 24 mois (hors promotion, appels, SMS, MMS illimités ou services inclus)entre un forfait Orange Origami ZEN 2 heures à 34€/mois associé à Orange Net à 39,90€/mois (+ 3€/mois pour location Livebox) et un ideo 2h à 44,90€/mois.



Faciliter la vie des clients



Un seul interlocuteur pour le mobile et le fixe



- Les clients grand public bénéficieront pour la première fois d’un interlocuteur unique pour les services fixe et mobile.

- Numéro 1 de la relation clients en téléphonie mobile4, Bouygues Telecom a créé une équipe dédiée de conseillers de clientèle polyvalents.



Devenir client ideo c’est facile



- Bouygues Telecom s’engage à accompagner les nouveaux clients dans l’installation de leur Bbox :

Mise à disposition d’un mini-site web d’accompagnement : information sur les démarches de résiliation, présentation de l’offre, souscription en ligne
Activation des services en moins de 24 heures à compter du raccordement par France

Telecom sur le réseau ADSL de Bouygues Telecom

Prise en charge des frais de résiliation jusqu’à 50€

Installation garantie : le service client peut envoyer un technicien à domicile, sans frais



- L’offre Bbox est sans engagement de durée.



- Le choix du forfait mobile avec ou sans plage illimitée s’accompagne de celui du terminal parmi l’ensemble de la gamme disponible chez Bouygues Telecom.



Les clients peuvent profiter de services convergents



La numérotation simplifiée (utilisation de numéros courts communs depuis leur Bbox et depuis leur mobile) pour l’accès au service clients ou au répondeur Bbox.
L’alerte par SMS sur leur mobile (0,12€ par alerte) de la dépose d’un message sur le répondeur du domicile et la consultation gratuite de leurs messages depuis leur mobile.

La réception gratuite des emails @bbox.fr directement sur leur mobile.

Les messages vocaux du répondeur peuvent être consultés sur Internet au sein d’une messagerie unifiée incluant les appels émis/reçus/manqués sur la ligne Bbox, les emails @bbox.fr, ainsi que les SMS/MMS émis depuis l’ordinateur.



Une distribution tous canaux



ideo les Tout-en-un est disponible en ligne via l@ boutique, par téléphone, ainsi que dans l’ensemble du réseau de distribution Bouygues Telecom.

Offres spéciales réservées au web :

Pour toute souscription sur l@ boutique, Bouygues Telecom offre un mois d’abonnement à tout nouveau client (5).

Un client actuel bénéficie d’un bonus de 500 points de renouvellement6 pour une migration via l'Esp@ceClient.
(


(4) Podium de la Relation Clients BearingPoint-TNS Sofres (avril 2008)

(5) Un mois offert sur la base d’un mois d’ ideo les Tout-en-un en zone dégroupée et sans option 3h vers les mobiles.

(6) Offre valable jusqu’au 30.09.09




Une télévision numérique enrichie



Depuis le lancement de la Bbox, Bouygues Telecom propose à ses clients une expérience unique de la télévision numérique, grâce à l’alliance de technologies haut-de-gamme (flux 100% MPEG-4, décodeur de dernière génération compatible avec la TNT HD) et de fonctionnalités innovantes (sélection automatique du meilleur signal, zapping virtuel, gestion simplifiée des enregistrements…).



Plus de 90 chaînes gratuites dont Paris Première, Téva, Ma Chaîne Sport, et l’arrivée sur la Bbox des chaînes HD de la TNT disponibles sur ADSL.(7)



MyTF1 : L’univers de TF1 sur la Bbox



• Accéder à un véritable vidéoclub depuis la Bbox : plus de 3000 programmes (cinéma, séries, humour, documentaires...).



• Profiter d’une large sélection de programmes de TF1 (disponibles à la demande et gratuitement pendant les 7 jours suivant leur diffusion) (8).



• Consulter les derniers journaux de TF1, la météo, les dernières dépêches et les résultats sportifs (8).



• Se divertir grâce aux jeux interactifs issus de l’antenne de TF1 (8).



Le meilleur de CanalPlay sur la Bbox (disponible courant été 2009)
Les clients ideo auront accès à tous les genres de cinéma (dernières nouveautés, comédie, séries à succès..) directement sur leur TV 24h/24, 7j/7. 7 Chaînes HD de la TNT disponibles courant été 2009 sous réserve d’éligibilité technique8 Disponible courant été 2009



A propos de Bouygues Telecom

Créée en 1994, Bouygues Telecom compte plus de 9,7 millions de clients, dont 7,3 millions de clients Forfait, et 8 650 collaborateurs. L'entreprise a pour ambition de "devenir la marque préférée de service de communication mobile, fixe, TV et Internet" qui libère les usages en privilégiant l’accueil, le conseil, le service et l’accompagnement de ses clients. Créatrice du forfait en 1996, puis des offres illimitées avec Millenium en 1998 et neo en 2006, Bouygues Telecom lance neo.2 en 2008, qui permet au client de choisir sa période d’illimité vers tous les opérateurs. La même année, Bouygues Telecom acquiert son propre réseau fixe et devient fournisseur d’accès Internet (FAI) avec la Bbox.



En 2009, Bouygues Telecom invente ideo les Tout-en-un : le client choisit le meilleur forfait mobile et profite des services de la Bbox : téléphonie fixe, télévision et internet.



Le réseau Internet mobile de Bouygues Telecom associant les technologies 3G+ (75% de la population couverte) et Edge (94% de la population couverte) permet de profiter d’une excellente couverture partout en France et de très hauts débits dans les principales villes.



N°1 de la Relation Clients en téléphonie mobile* pour la deuxième année consécutive, Bouygues Telecom assure un service de proximité. Ses 2 000 conseillers de clientèle, son réseau de distribution de 590 Magasins Club Bouygues Telecom et le site Internet disponible 7j/7 et 24h/24 permettent d’offrir une présence de qualité auprès de ses clients.



* Podium de la Relation Clients BearingPoint-TNS Sofres (avril 2008)

mercredi 13 mai 2009

La conférence WWDC d'Apple s'ouvrira par un discours inaugural le lundi 8 juin

Apple
Apple® donnera le coup d'envoi de sa conférence annuelle WWDC (Worldwide Developers Conference) par un discours inaugural, le lundi 8 juin à 10 heures. C'est une équipe de dirigeants d'Apple, conduite par Philip Schiller, senior vice president of Worldwide Product Marketing d'Apple, qui présentera conjointement le keynote. La conférence WWDC proposera des séances approfondies sur iPhone™ OS 3.0, le système d'exploitation mobile le plus avancé au monde, et sur Mac OS® X Snow Leopard™, version encore plus puissante et sophistiquée du meilleur système d'exploitation pour ordinateurs de bureau au monde, qui sera au cœur des innovations Mac® pour les années à venir.



"En juin dernier, nous avions donné aux développeurs un aperçu des puissantes nouvelles technologies qui constituent les fondations de Mac OS X Snow Leopard", a déclaré Bertrand Serlet, senior vice president of Software Engineering d'Apple. "Lors de cette conférence WWDC, nous leur remettrons une version "Developer Preview" aboutie, afin qu'ils puissent constater par eux-mêmes les incroyables progrès que nous avons effectués sur Snow Leopard et qu'ils participent avec nous à la mise au point de sa version finale."



Les sessions techniques portant sur Snow Leopard et Mac présenteront des centaines d'améliorations apportées au système d'exploitation et plongeront au cœur de ses nouvelles technologies, parmi lesquelles figurent une architecture 64 bits, QuickTime® X, la prise en charge des processeurs multi-cœurs et graphiques de nouvelle génération et d'extraordinaires nouvelles technologies d'accessibilité. Les sessions techniques sur iPhone OS 3.0 aborderont à la fois des notions élémentaires et des concepts avancés, afin de permettre aux développeurs d'exploiter au maximum le SDK iPhone OS 3.0 et plus de 1 000 nouvelles API disponibles pour iPhone OS 3.0.



La conférence WWDC offrira également aux participants l'occasion unique de travailler aux côtés d'ingénieurs Apple pour résoudre des problèmes de codage, acquérir une meilleure compréhension des techniques de développement et bénéficier des conseils d'experts en matière de conception d'interfaces.



Autres activités proposées par l'édition 2009 de la WWDC d'Apple :



- plus de 100 sessions techniques seront animées par des ingénieurs Apple sur divers thèmes liés au développement, au déploiement et à l'intégration des technologies iPhone OS 3.0 et Mac OS X ;

- plus de 1 000 ingénieurs Apple viendront présenter les toutes dernières technologies Apple et animer des ateliers pratiques individuels ;

- enfin, les participants auront l'occasion de prendre contact avec des milliers d'autres développeurs iPhone et Mac, venus du monde entier.



Pour vous inscrire et consulter le détail du programme, rendez-vous sur le site de la conférence WWDC 2009 d'Apple, à l'adresse suivante : developer.apple.com/wwdc. Les journalistes et analystes du secteur sont invités à assister au discours inaugural et peuvent s'enregistrer auprès de Teresa Brewer, en écrivant à l'adresse tbrewer@apple.com.



Apple a révolutionné l’informatique personnelle dans les années 1970 avec la sortie de l’Apple II et a réinventé l’ordinateur personnel dans les années 1980 avec le lancement du Mac. Aujourd’hui, Apple reste le leader du marché en matière d’innovation avec ses ordinateurs, son système d’exploitation Mac OS X, iLife et ses applications professionnelles sans équivalent. Apple mène aussi la révolution multimédia numérique avec ses lecteurs de musique et de vidéo portables iPod et l’iTunes Store en ligne, et a fait son entrée sur le marché de la téléphonie mobile avec son révolutionnaire iPhone.

mardi 12 mai 2009

Orange lance la première offre mobile en France destinée aux bénéficiaires du Revenu de Solidarité Active

Orange


- Le 1er juin, le Gouvernement généralise le Revenu de Solidarité Active, qui remplacera notamment les deux principaux minima sociaux, RMI (Revenu Minimum d’Insertion) et API (Allocation de Parent Isolé) et qui viendra compléter le revenu des travailleurs pauvres.

- Orange propose le « forfait bloqué spécial RSA » à tous les bénéficiaires du RSA dans les boutiques Orange et dans les réseaux partenaires à partir du 18 juin.

- Dès le 12 mai, tous les bénéficiaires du RMI et de l’API peuvent souscrire cette offre auprès du service clients Orange.



Une offre mobile à bas prix pour les bénéficiaires du RSA



Ce « forfait bloqué spécial RSA », valable en France Métropolitaine, comprend 40 minutes d’appels vers les fixes et les mobiles + 40 SMS pour 10 euros par mois, sans engagement. Il est proposé à tous les bénéficiaires du RSA, qu’ils soient déjà clients Orange ou non. Ce forfait bloqué inclut le report des minutes et des SMS non consommés.



Les clients d’Orange éligibles au « forfait bloqué spécial RSA », mais déjà engagés sur une autre offre peuvent bénéficier de ce nouveau forfait bloqué sans frais ; leur engagement cesse alors.

Les clients d’autres opérateurs peuvent souscrire l’offre tout en conservant leur numéro.



Orange propose, dans ses boutiques, une gamme de mobiles à partir de 39 euros et prochainement des mobiles d’occasion à partir de 10 euros pour les souscripteurs de l’offre. Bien entendu, les bénéficiaires du RSA qui le souhaitent peuvent souscrire au « forfait bloqué spécial RSA » sans acheter de mobile.



Une nouvelle contribution d’Orange au maintien du pouvoir d’achat



Ce nouveau « forfait bloqué spécial RSA » complète la gamme des offres Orange à prix réduits en contribuant au maintien du pouvoir d’achat dans un contexte économique difficile.



Orange propose d’ores et déjà plusieurs avantages qui favorisent le pouvoir d’achat des Français :

- une offre de sms illimités ou 10% de remise sur certaines offres pour les jeunes de moins de 26 ans ;

- une réduction de 10% sur les forfaits « initial » pour les plus de 60 ans ;

- 20% de réduction sur l’offre « click » pour les demandeurs d’emploi et les familles nombreuses.



Par ailleurs, une offre « sociale » triple play (téléphone, TV et internet) à 20 euros est en préparation.



Selon le Gouvernement, plus de 3,5 millions de Français seront éligibles au RSA le 1er juin 2009.

lundi 11 mai 2009

Voici Bento for iPhone and iPod touch

Bento for iPhone
Bento for iPhone and iPod touch, la version mobile de la base de données personnelle très populaire conçue par FileMaker, est aussi simple à utiliser que votre iPhone !



Il n'a jamais été aussi facile d'organiser tous les détails de votre vie au quotidien et ce au sein d'une seule et unique application de votre iPhone qui fonctionne de manière transparente avec Bento 2 !



Bento. A emporter.



Vos informations Bento seront désormais toujours à portée de main grâce à une application géniale et incroyablement facile à utiliser conçue spécialement pour l'iPhone et l'iPod touch.



Accédez instantanément à toutes vos informations lorsque vous êtes loin de votre Mac. Affichez les bibliothèques et les collections, créez des enregistrements, modifiez des détails, triez des données, modifiez des formulaires : vous pouvez même utiliser la recherche de type iTunes pour trouver des informations rapidement lorsque vous êtes en déplacement.



Faites votre choix parmi 25 modèles de bases de données prêtes à l'emploi. Personnalisez des modèles en quelques clics pour organiser virtuellement tous les types d'informations que vous possédez.



** Certains types de rubriques requièrent le logiciel Bento 2.0v4 pour Mac.



Toujours synchronisé



Bento pour l'iPhone est une application autonome exceptionnelle, mais qui peut également se synchroniser directement avec Bento 2.0v4 exécuté sur un Mac afin que votre ordinateur et votre appareil mobile soient toujours à jour, que vous éditiez des informations sur votre Mac ou en déplacement.



* La synchronisation de l'ordinateur requiert Bento 2.0v4 pour Mac ou une version ultérieure.



Une parfaite entente avec les autres applications



Bento for iPhone fonctionne avec les informations et les applications que vous possédez déjà sur votre appareil mobile, comme Contacts, Safari, Mail et Google Maps pour une utilisation totalement intégrée avec votre iPhone.



Remarque : Bento for iPhone and iPod touch est disponible en anglais uniquement, les modèles sont donc en anglais uniquement. Bento for iPhone prend en charge la saisie dans tout un éventail de langues et peut-être synchronisé avec Bento 2.0v4 pour Mac, quelle que soit la langue. Les modèles Bento sont disponibles en français, allemand, italien, espagnol, néerlandais et japonais dans les versions localisées de Bento 2.0v4 pour Mac.

dimanche 10 mai 2009

A quick history of software platforms: How we got here, and where we're going

Intuit and Stanford recently asked me to give talks on computer platforms and what makes them successful. (By platforms I mean software with APIs that third party developers can write apps on top of; Windows and Macintosh are both platforms, as is Java.) Platforms are a hot topic in Silicon Valley these days. The success of the iPhone app store in mobile, and Facebook on the web, have forcefully reminded people that you can grow a tech business more quickly if you get third party developers to help you. Almost every tech company I work with is trying to expose some sort of API or platform offering in its products.

To explain how software platforms work today, I thought it'd be good to start with their history. But I wasn't sure about many of the details myself, so I ended up doing some research. The information was surprisingly hard to find, and also pretty controversial -- for every person who claims to be the first to have done something in computing, there's someone else who begs to differ. I did my best to sort through all the claims. The picture that developed makes an interesting story, but also has some very important lessons about where the industry might go next.

Fair warning: this is a long post. But I hope you'll feel that the destination is worth the trip.

Here's what I found:


Hardware memory, software amnesia

The computer industry is often criticized for its failure to remember its own history. Supposedly we're so focused on the new thing that we forget what's come before.

In reality, though, we're actually fairly good at remembering a lot of our hardware history (for example, Apple fans are celebrating the 25th anniversary of the Macintosh this year). There's passionate controversy over what was the first computer -- was it Konrad Zuse's Z1 (link), Tommy Flowers' Colossus (link), etc. The answer depends in part on your definition of the word "computer." But it's a well-documented disagreement, and you can find a lot of information about it online, including a cool timeline at the Computer History Museum (link).

The machine most commonly cited as the first fully programmable general-purpose electronic computer was ENIAC, the Electronic Numerical Integrator And Computer. It was completed in 1946 (link).


Here's ENIAC (well, part of it, anyway)

You can find lots of histories of ENIAC online (link). There are multiple simulators of it on the web (link), and the engineering school at the University of Pennsylvania even has an ENIAC museum online (link).

But when it comes to software, our memories are much hazier. For example, I doubt there will be a 25th anniversary celebration in 2010 for Aldus PageMaker, the program that did more than any other to make Macintosh successful. And about a day after I post this article -- May 12, 2009 -- will be the 30th anniversary of the introduction of Visicalc, the first spreadsheet program. Anyone planning a parade?

Today we take it for granted that you can use a computer for a variety of business or personal tasks, but it didn't always work that way. ENIAC and Colossus were government-funded tools for solving military and scientific problems. The US Army funded ENIAC, and in addition to calculating artillery tables, it was also used for tasks like weather prediction, wind tunnel design, and atomic energy calculations.


These nice ladies are programming ENIAC, by moving cables around.

How did we end up using computers for other purposes? The UPenn site says only, "it is recalled that no electronic computers were being applied to commercial problems until about 1951."

Yeah, "it is recalled." This is where I had to start digging. Once again there are disputes (link), but you can make a very good case that business computing started in the UK, and it involved something called a Swiss roll.


The first business computer

I had never heard of Joseph Lyons & Company, but in the 1950s they ran a chain of tea shops in the UK. I have to pause here for a second and explain what the term "tea shop" means. It's not a shop where you can buy bags of tea (which is what I assumed). Instead, it is what Americans call a coffee shop -- a fixed-menu restaurant that people would come to when they wanted to have a quick meal, snack, or meeting. The closest equivalent in the US these days is probably Denny's.

In the 1950s, Lyons had the biggest network of tea shops in the UK. It employed 30,000 people and served 150 million meals a year. The company sold 36 miles of Swiss roll a day (link).

(In case you're wondering, Swiss roll is a flat sponge cake rolled around a filling. Americans call it jelly roll. In India, it's called jam roll. In Sweden, rulltårta. In Japan, "roll cake." But in Spain, for some reason it's called brazo de gitano (gypsy's arm). Don't ask me why. [link] )


A Swiss roll made and photographed by Musical Linguist on 25 June 2006

Like every other company of its day, everything at Lyons was run on paper -- tallying 150 million receipts, calculating payroll, managing taxes, and even figuring out how many miles of Swiss roll you need to make for tomorrow's customers. All of that by hand with adding machines. It was an incredibly expensive and error-prone way of running a business, but it was the best anyone could do at the time.

When the people at Lyons first heard about these new computer thingies, they wanted one immediately to help run the business. But there wasn't any way to buy one. So they donated $5,000 (about $50k today) to Cambridge University to create a modified version of a computer that Cambridge had been working on.

The result was called LEO (Lyons Electronic Computer), and when it started regular operations on November 17, 1951, it was the world's first business computer. It occupied 5,000 square feet of floor space (about 500 square meters), and its 4k memory unit weighed half a ton because it was full of mercury. LEO's lead programmer was David Caminer, who is generally credited as either the world's first business software programmer or the first systems analyst. LEO's software let it handle -- guess what -- the same sorts of tasks we handle on business computers today: payroll, inventory, financials, and so on. It cut the time to calculate one employee's wages from eight minutes to 1.5 seconds (link).


David Caminer

Pause for a moment and think about the courage and vision it took for Lyons -- a catering company -- to build its own computer. There was no guarantee the process would succeed, and indeed the process took two years, with plenty of setbacks along the way.

But LEO was eventually a big success, and Lyons eventually spun it out as a separate computing subsidiary. Caminer went on to have a distinguished career in computing. He died in 2008, unfortunately, so we just missed our opportunity to say thanks to him. If you want to read more about LEO, Caminer co-wrote a book about it (link). Naturally, it's out of print, and the cheapest used copy when I looked it up was $75.


What is software, anyway?

One interesting aspect of LEO is that although Caminer and his team wrote software for it, that software was not available separately from the computer. That's the way the computing industry worked throughout the 1950s. For example, if you bought an IBM computer there was a set of standard IBM programs that ran on it.

In fact, the term "software" didn't even exist until it was popularized by John Tukey in 1958, more than ten years after ENIAC began operation (link). He wrote:

Today the "software" comprising the carefully planned interpretive routines, compilers, and other aspects of automative programming are at least as important to the modern electronic calculator as its "hardware" of tubes, transistors, wires, tapes and the like.

So the whole idea of software as a separate entity, a concept that we take for granted today, did not exist at the beginning of computing. The concept of making computers reprogrammable came along quite early, but it took a couple of decades for software to fully separate itself from hardware as its own distinct discipline.


John Tukey

(Naturally, there's some dispute about whether Tukey was the first to use the term "software." You can read about it here.)

Tukey was an interesting guy. He also created the term "bit," helped design the U-2 spy plane, and did a lot of other fascinating things (link).

If you want to read more about the history of software technologies, there's an essay here. And the best (and just about only) book on the history of the software industry is here.


Software as a business

Once we got the idea of software into our heads as a separate discipline, the next milestone in platform history was the creation of the first independent computer program, the first one you could buy separately from the hardware. As far as I can tell, that idea didn't just spring into being all at once; it emerged as a slow-motion avalanche over a period of 15 years.

Computer Usage Corporation, founded in 1955, is often cited as the first computer software company. It focused on custom programming services (link). Another very early custom programming company was CEIR, founded in 1954 (link). After them, a number of other custom programming firms sprang up. Sometime between 1962 and 1965, California Analysis Center, Inc. started selling a proprietary version of the Simscript programming language as a standalone product (the Computer History Museum says it was 1962 here, but CACI's own website says 1965 here). The 1962 date is the earliest I can find for any sort of independent software product. To my amazement, CACI is still selling Simscript today (link).

Several other programming languages and compilers came to market in the early 1960s, but there's disagreement over how much they actually sold, or whether they were really managed as independent products (link). A file management program called Mark IV, by Informatics, is credited as the first independent software product to generate more than a million dollars revenue. It was published in 1967 (link). That year also saw the first publication of the International Computer Programs Quarterly, the first commercial software catalog, which helped small software companies get to market at low cost (link). Think of it as a paper version of the iPhone App Store.

But if you want to find the first snowball that started the commercial software avalanche, I think it was tossed in 1964 when a contract programming company called Advanced Data Research was jerked around on a business deal by RCA.


The first commercial software product

In the mid-1960s, a cottage industry of contract programming firms did custom software development. When a new mainframe was in the works, its manufacturer would sometimes hire these firms to create software to offer with it. Computer owners could also hire those development houses to write create custom software for them. The idea of off-the-shelf software didn't exist; you got it for free with your computer, had it written for you, or developed it yourself.

RCA, which at the time was a promising mainframe company, approached ADR asking them to create a program to draw flow charts of computer programs (the flow charts were used for documentation and debugging). That may not sound like a big deal today, but in the early days of computing the industry didn't have the sort of automated debugging tools it has today. A flowchart was very useful to help maintain and document a custom software program after the project was finished.

So ADR created a proposal and submitted it to RCA. Fortunately for the computer industry, RCA turned it down, as did every other mainframe company. But ADR believed in its concept, so it decided on its own to develop the product anyway. It spent over $5,000 (about $35k in today's money) and half a man-year on the project.

But RCA was not impressed. Once again they said no.

Now ADR had a sunk cost. In business school they teach you to walk away from those, but in real life companies hate to admit they made a mistake. So ADR decided to try marketing the software on its own. They named it Autoflow, and wrote a letter to all 100 RCA mainframe owners offering them the program for $2,400 on a three year lease. It was three milestones in one: the first commercial software program, the first subscription software, and the first junk mail urging you to buy a software program.

ADR sold two licenses.

That may not sound like much, but somebody at ADR did the math -- if we sold two copies to 100 RCA customers, what would happen if we offered our software to IBM's much larger installed base? So ADR ported Autoflow to IBM mainframes. In the second half of the1960s it sold more than a thousand licenses of Autoflow, and created a portfolio of other independent software programs for IBM systems.

IBM was not pleased. Nobody was supposed to mess with the IBM customer base; that might weaken IBM's control over its customers. The company created its own flow charting software, which it gave away for free to its customers, and started to copy ADR's other programs as well. This became a huge competitive problem for ADR -- even if its software worked better than IBM's, it was hard to compete with free. IBM was also able to freeze the market for ADR by promising that it would in the future offer a free version of something ADR was currently selling. Customers would delay ADR purchases until they could evaluate the IBM product.

ADR and other fledgling software companies complained to the US government. In 1969, the Justice Department, ADR, and several others filed antitrust suits against IBM. ADR collected $2 million in penalties, and IBM agreed to stop bundling free software with its computers.

And thus the independent software industry was born.



Martin Goetz (above) was the product manager of Autoflow. I wrote to him and asked for his take on which was the first software product. Here's his reply:

Autoflow was recognized as the first software product to be commercially marketed. Starting in 1964, ADR licensed its products nationally and through ads in all the major computer publications, started investing in the development of other products and became known as a software products company.

I think that's the right way to look at it: Autoflow was the first software product to be commercially marketed, which is why I call it the snowball that started the avalanche. Informatics' Mark IV also played an important role because its financial success validated the market -- reportedly it was the top-selling software product for the next 15 years (link).

Goetz says Mike Guzik was the lead programmer on Autoflow (link), and he cites ADR President Dick Jones as a strong supporter of the idea (link). I think we should credit Goetz and Guzik as the creators of the first commercial software application, although neither of them has an entry in Wikipedia.

Incidentally, Goetz also holds the first software patent:


Computerworld, June 1968

That has to be one of the most visionary headlines in the history of the computer press: "Full Implications Are Not Yet Known." Here we are 41 years later, and it's still accurate.

Goetz was named the "Father of Third-Party Software" by mainframezone.com (link) and there's a very interesting interview with him here. You can find a much longer interview here and his memoirs are here.

Advocates of open source software will probably view Goetz as a bad guy, since he helped make software a for-profit industry. But he has some pretty strong opinions about the poor quality and slow innovations that happened in software when it was only free. In particular, he says that a completely free software industry was not responsive to the needs of users (link).

An amusing anecdote complaining about Goetz, apparently written by a former ADR employee, is here. I can't verify the anecdote, but if nothing else it shows that ADR was also a pioneer in the practice of engineers making catty comments about product managers.

(I should add that there are some different interpretations of the effect of IBM's unbundling decision. One is in a very interesting interview with the creator of the ICP catalog here.)


The rise of the third party application platform

The next evolutionary step was for computer companies to see their products as development platforms -- for them to actively encourage software developers rather than viewing them as a nuisance. I haven't been able to figure out when in the 1970s this change in perspective happened (please post a comment if you know the history). It may have happened in the era of minicomputers, or it may have been a PC thing. Definitely Dan Bricklin and Bob Frankston's VisiCalc, the world's first spreadsheet program, played a role when it came to market for the Apple II in 1979. It was so revolutionary that reviewers at the time didn't know how to describe it. They just said it was a way to make the computer do things you want it to do, without writing your own program. VisiCalc established the idea of the "killer app," a software program so popular that it drove demand for the underlying hardware.

"Visicalc could some day become the software tail that wags (and sells) the personal computer dog."
--Ben Rosen, co-founder of Compaq, reviewing VisiCalc when we was still an analyst with Morgan Stanley. Nice call, Ben. (Link)

By the early 1980s, software developers were being actively courted by computer manufacturers. Apple had a developer recruitment team for the Macintosh, and apparently coined the term "software evangelism." That's where Guy Kawasaki cut his eyeteeth, although he wasn't the first evangelist. As he puts it:

"Mike Boich started evangelism and hired me, and Alain Rossman worked with me as a software evangelist. Essentially, Mike started evangelism, Alain did the work, and I took the credit." (Link)

I happen to know that Guy did a bit of the work too.

The other critical change in the 1980s was the separation of the OS from the underlying hardware. Most of the new PC software platforms had been tied to hardware, just like traditional computers. For example, you had to buy a Macintosh in order to run Mac software, or an Amiga in order to use Amiga apps. But then IBM created the PC, and through a series of business blunders allowed Microsoft to separately sell the DOS operating system used on its hardware. IBM's brand and marketing power established the PC as a standard, but the company enabled Microsoft and Intel to create a "clone" hardware market, and eventually drive IBM out of the PC business.

So now there were three layers in the industry -- the application was independent of the OS, and the leading OS was independent of the hardware.


The network strikes back

That's where the situation sat until the late 1990s, when Java and web browsers threatened to create another layer in the architecture by separating software applications from the OS. The theory was that instead of writing programs that depended on Windows, programmers could create code that worked on Java, or on the Netscape browser.

Microsoft fought back very aggressively, killing Netscape by giving away Internet Explorer, and crippling Java on the PC. Looking back, it was an impressive use of business muscle, worthy of Microsoft's tutor IBM.

But it was also a pyrrhic victory. Microsoft's actions in the 1990s forced software innovation completely off the PC platform, because investors were afraid that new software apps would just get cannibalized by Microsoft. Instead software innovation moved onto the web, where Microsoft had virtually no control. That's one of several reasons why the next generation of software is being written as web apps.

And that's where we are today.


Where we go next

As I said at the start of the post, I think all of this history is fun in its own right. I also wanted to take this opportunity to thank some of the people who built the tech industry into the fun place it is today.

But understanding computing history is also very important because, if you look across the sweep of it from the 1940s to today, it's much easier to see where we might go next.

Here's what I think that long perspective shows us: The history of software is a history of disaggregation. First the application software gets separated from the hardware, then the OS gets separated from the hardware, and so on.

I think disaggregation is a natural outcome of the maturation of the industry, because multiple companies can move faster than a single one. At the start you need everything coordinated together to make sure the whole thing will work. But over time, no single company can pursue all of the innovation possibilities, so you get a backlog of potential creativity that can happen only if control over the architecture is broken into pieces.

For example, most of the interesting innovation in applications happened only after they were separated from the hardware.

But as the industry continues to grow, each of the pieces becomes its own stodgy monolith, and eventually another subdivision happens.

The fastest growth and the easiest innovation has generally happened at the leading edge of disaggregation, because each change creates new business opportunities.



That doesn't mean that old school companies are dead. IBM still sells mainframes, and Apple still makes PCs bundled with an OS. But to succeed in an old paradigm you have to execute extremely well, and it's much harder to grow explosively. The easiest progress is made at the leading edge.

A common thread among the people working at the leading edge of disaggregation is their excitement as they recognize the opportunities created by the change:

"There was a tremendous euphoria of success. You couldn't lose. All you needed was a group of highly technical people who could create a software product and that was it. And to some degree there was some truth to that. Because you didn't have to be good sales people. You didn't have to worry about the competition. For years I used the aphorism that we were like little boys on the beach each with our sand piles. There was plenty of sand to put in our buckets. We didn't have to edge out the other little boy to get all the sand we needed. We were limited by the size of our pail and our little shovels but not by the amount of the beach that was there or the fact that there was another little boy there with his pail."

That's Walter Bauer, cofounder of Informatics, talking about the birth of the independent software industry in the 1960s (link). But you could find similar sentiments from the people who built the first computers, or the first Mac programmers, or the first web app developers. The leading edge of disaggregation is where the action is; it's where the fun happens.

So, if you're looking to succeed in the software industry, it's extremely important to figure out what's going to get disaggregated next. Which brings us to the point of this article.


Say hello to the metaplatform

Sun's rallying cry in the 1990s was, "the network is the computer" (link). It was an excellent insight that pointed to the emerging importance of the Internet, but most of the industry misread what it meant. We looked at the architecture of the thing we knew best, the PC, and tried to map it directly to the network. So servers would replace the PC hardware, and software on those servers would replace Windows. The PC itself would be reduced to light client, a screen connected to a wire.


What we expected

But instead of a new OS on the network replacing the OS on the PC, what we're seeing is the breakdown of the OS into component parts that live everywhere, on both the client and the server.

In other words, the OS is the next thing that gets disaggregated.


What's actually happening

People have been talking about elements of this change for years, but like the proverbial blind men feeling bits of the elephant, we've talked about individual pieces of it, with each of us assuming that the piece in front of us was the most important. So people producing software layers like Java and Flash say that they are separating the APIs on the device from the underlying OS. And the advocates of cloud computing say they're creating a software services architecture that runs on servers. But in reality we're doing both of those things, and a lot more. The OS is dissolving into a soup of resources distributed across both the network and the local device, with the application in the middle calling on both as appropriate. We need to get off the idea that the network or the client will be dominant; they're both supporting elements in something larger.

You can see this process operating in the evolution of web applications. The first web app companies tried to make applications that were entirely light client, but they didn't work particularly well -- they were slow, and their user interfaces were too limited. Web apps took off only when they adopted an approach in which the platform was split between the PC and the network -- the user interface ran locally through the browser, while back-end calculation and data storage was done on the network.

Mobile computing reinforces the need for this sort of hybrid architecture. Wireless broadband has important limitations that make pure light client computing extremely problematic. Wireless networks are relatively slow compared to wired networks, there's high latency on them, coverage is inconsistent, heavy communication drains device batteries rapidly, bandwidth is expensive, and most importantly, total wireless bandwidth is limited. The most effective mobile application are and will continue to be hybrids of local and network resources, like RIM's e-mail solution.

Companies entering the mobile market often ask me which mobile operating systems are going to win long term. I think that's the wrong question. What we're seeing is the gradual evolution of a super-OS that includes both the network and the device.

Like software developers before the word "software" was invented, we don't have a name for this new thing, and so we have trouble talking about it. It's not just the Network or the Cloud, because those terms are usually understood not to include the software on the client computer. And it's certainly not just the local APIs on the client device.

I'm calling it the "metaplatform" because it subsumes all other platforms. No single company controls the metaplatform. Google obviously contributes a lot to it, as does Amazon Web Services, as does Microsoft. But they're only fragments of the picture. There are thousands of other contributors to the metaplatform, in areas ranging from mapping to graphics to identity.

There's still a lot of work that needs to be done on the metaplatform, especially in the mobile space. But already it's evolving faster than any single company could move it, because the work is divided across so many companies, and because there's competition driving innovation at almost every point in the architecture. Although the metaplatform isn't necessarily elegant (because it's poorly coordinated), what it lacks in beauty it more than makes up for in rate of change and versatility.


New opportunities

The metaplatform helps to solve some computing problems, but creates others. For example, a recurring problem for software in the OS era has been compatibility. Old data files, even when perfectly preserved, can become unreadable if the hardware and software that created them is no longer available. A lot of software is very dependent not just on the hardware, but on the particular version of the OS it's running on. (If you want to see that effect in action, try running a ten-year-old Windows game on a new PC. It may work, it may refuse to run at all -- or it may freeze right when you're about to defeat the boss bad guy.)

The metaplatform is helping to resolve some compatibility problems, through emulators available online. But more importantly, web apps on a PC are less vulnerable to PC-style compatibility breakdowns because PC browsers are relatively standardized, and much of the OS code the web app relies on lives on the same server as the app itself, so they are less likely to get out of sync.

But metaplatform-based software is uniquely vulnerable to a new set of problems. When a user's data is stored on a web app company's server 3,000 miles away, what happens if that company goes out of business or just decides to stop maintaining the product?

Another problem experienced by any website using plug-ins is component breakage. If you've incorporated external web services into your site, the site will break if any of those services stops working. This can happen without warning. On my own weblog, the load time for the site suddenly became ridiculously long. It took me weeks to realize that a user-tracking service I'd once signed up for had gone out of business without telling anyone. My site stopped loading while it tried helplessly to connect to a tracking site that no longer existed.

An old software application from the OS era has some hope of revival if you have a copy of the CD, because all the code that made up the app is together in one place. But an old, broken web app will be almost irretrievably dead, because huge chunks of its code will be missing.

Problems like these are just starting to emerge, but as the metaplatform grows and ages they'll become much more prominent. We don't have any systematic ways to deal with problems like these today -- which means they're a business opportunity for the next crop of software entrepreneurs.


What the metaplatform means to you

Much of the discussion in this post is pretty theoretical. But I think it has important practical implications. Here are a few specifics to think about:

If you're a computer user (and if you're reading this, you must be), keep in mind that the most interesting new software innovations are likely to come from companies that consciously work the metaplatform. If you want to be at the leading edge of software innovation, you should keep yourself open to experimenting with new web applications and plug-ins, and make sure your browser doesn't artificially cut you off from some technologies. This is especially true for mobile devices. The iPhone today gives (in my opinion) the best overall mobile browsing and app discovery experience, but you pay a price for it -- you're cut off from some web technologies (Flash, Java) and your choice of applications is limited by the Apple app police. You pay a serious price for the superior user experience of the iPhone. That price is worth paying today, but in the future I hope there will be mobile devices that are as satisfying as the iPhone but less controlled. Actually, I'm sure that will happen over time. But "over time" can sometimes mean a long time in the future. You can help the process along with what you buy and by the feedback you give to device manufacturers.

Are you working at an OS company? If so, you probably measure success by the number of devices your software controls. You need to rethink that viewpoint. The OS is going to be less and less of a technology control point in the future. It will become commodity plumbing underneath the metaplatform, limiting your ability to charge a lot of money for it. So at a minimum, you need to plan for cost control.

But you should also be asking if plumbing is the right place for your company's creativity in the long term. There will be much more profit opportunity in contributing to the metaplatform by creating APIs and developer functionality that can be used across different operating systems. OS companies have many of the assets needed to build those components of the metaplatform. A successful OS can be a great launching point for technologies that run across platforms, because you already have a big installed base that you can use to jump-start the technology's adoption.

Are you at an application company? Many successful app vendors are trying to create APIs that will enable other developers to extend their products. This is the right idea, but the implementation is often off-target. Many of the app companies I talk to are trying to make their APIs into the business equivalent of an operating system, with developers coming to them and living entirely within their private ecosystem. A warning sign is when a company uses a phrase like, "(insert company name) developer network" to describe its offering.

The wave of the future is not turning an application inward into its own little walled garden; it's opening the application outward so it can be mixed and matched with other functionality in the metaplatform. If you have the best drawing program in the industry, you should be asking how you can also become the best drawing module in the metaplatform. Get used to being a component in addition to a standalone product. You lose some identity in the process, but gain greater opportunities to grow.

And besides, if you don't do it, you'll be vulnerable to someone else doing it and taking your place.

If you're a computing student, or a computing veteran looking to create a new product, think about what role you can play in the metaplatform, and what customer problems you can solve with this new tool. There will be big market openings in both products for users and companies, and infrastructure for other developers in the ecosystem (billing, rights management, security, etc).

As in previous generations of software, the answers are not immediately obvious, and the people who figure them out first will have huge opportunities to do something impactful. Like Caminer, Goetz, Bauer, Bricklin, and Frankston, you're on an enormous beach with a trowel and bucket, and you have a chance to shape the next generation of computing.

Have fun.

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I'd like to thank Eugene Miya of NASA Ames and Martin Goetz for helping with the research that contributed to this article. They're not responsible for any errors I made, but they definitely corrected some.

I'm sure there are folks out there who have additional information on the history I wrote about here. If you have anything to add (or correct) please post a comment.