One thing, I've always called it Oh-Vee, with the open O. Apparently, that's wrong!
jeudi 30 avril 2009
Introduction to Ovi
An introduction to Ovi on Nokia
One thing, I've always called it Oh-Vee, with the open O. Apparently, that's wrong!
One thing, I've always called it Oh-Vee, with the open O. Apparently, that's wrong!
Free Internet Access on Vodafone UK

Vodafone UK are cutting their PAYG prices for accessing the 'net from a mobile on 1 May, and to celebrate are offering free access from your mobile for the whole day on Friday 1st. From 0:01 Friday morning to 23:59 Friday night, any web access from your handset to either wap.vodafone.co.uk or pp.vodafone.co.uk will be totally free of charge. Seems tomorrow will be an ideal day to whack my Vodafone PAYG SIM into the E75 and give it a real going over on the web.
As for the price changes, daily usage charges are now capped at 50p per day, down from £1, and the allowance is up from 15MB to 25MB. This is a welcome move, and a significant price cut, but is still twice the price of O2 for daily users. A standard monthly charge will still be £15 if web is accessed daily, which whilst better than £30, is still double the O2 data bolt on for PAYG users which is only £7.50 per month.
More information here
mercredi 29 avril 2009
Outremer Telecom et TRACE lancent TRACE MOBILE

Groupe Outremer Telecom (FR0010425587 – OMT), premier opérateur alternatif dans les
départements et régions d’Outre-mer avec la marque ONLY, annonce le lancement de TRACE
MOBILE sur l’île de la Réunion et à Mayotte : une offre de téléphonie Mobile développée en
partenariat avec le groupe TRACE.
TRACE est le premier groupe média à destination des 11-35 ans exclusivement dédié à l’expression
des musiques et cultures urbaines et tropicales. Dans le cadre de cette alliance, TRACE apporte à
Outremer Telecom la marque TRACE MOBILE, des contenus audiovisuels et son expertise marketing
sur les jeunes. TRACE est en effet la chaîne musicale leader en Outremer.
Toujours plus de services pour développer les usages multimédias sur le Mobile
TRACE MOBILE est une offre de téléphonie mobile packagée pour les moins de 26 ans proposant :
• un forfait de 1h30 de communication pour 19,90 euros /mois avec une forte abondance voix
et données : des appels illimités vers les téléphones fixes et mobiles Only locaux, tous les
jours entre 15h et 19h et le mercredi de minuit à 19h,
• des SMS illimités 24h/24, 7j/7 vers tous les opérateurs de la Réunion et de la Métropole,
• un accès illimité à Internet et aux e-mails,
• une offre de contenus exclusifs : l’accès illimité aux chaînes TV TRACE et TRACE TROPICAL,
gratuitement pendant les 3 premiers mois,
• et une connexion 3G+ permettant un accès illimité à Internet et aux mails, avec la clé
TRACE MOBILE 3G+.
Pour Mayotte, l’offre TRACE Mobile offre une abondance voix et SMS.
TRACE MOBILE sera disponible dès le 28 avril 2009 dans les boutiques only de l’île de la Réunion et
le 7 mai à Mayotte, et sur le site Internet www.only.fr.
Jean Michel Hegesippe, Président Directeur Général de Groupe Outremer Telecom déclare : « Après
deux ans d’implantation dans l’Océan Indien et avec une part de marché de près de 9% sur le
mobile au 31 décembre 2008, nous souhaitons encore accélérer notre développement dans cette
région. Le lancement de TRACE MOBILE en est l’illustration et devrait nous permettre de recruter
de nouveaux abonnés, notamment auprès des moins de 26 ans qui sont fortement représentatifs de
la population de l’île.»
A propos d’outremer Télécom
Un opérateur intégré dans l’ensemble des ROM - Fondé en 1986, le groupe Outremer Telecom s’est imposé dans les régions
d’Outremer (Martinique, Guadeloupe, Guyane, Réunion et Mayotte) comme le premier opérateur alternatif de
télécommunications capable de proposer une offre intégrée de téléphonie fixe et mobile et d’accès Internet, à l’attention
des particuliers et des entreprises.
Les clés du succès : un réseau en propre et une marque unique à forte notoriété, Only - Le groupe Outremer Telecom a
développé son propre réseau de télécommunications qui lui permet aujourd’hui de se prévaloir d’un positionnement de
challenger offensif et innovant sur un marché en forte croissance. La Société s’appuie sur une marque unique, Only, qui
bénéficie d’une très grande notoriété dans l’ensemble des régions d’Outremer et véhicule une image moderne de qualité et
de proximité.
Une stratégie de croissance sur un marché solide - Le groupe Outremer Telecom entend conforter sa position de premier
opérateur alternatif dans les régions d’Outremer et poursuivre la forte croissance de ses abonnés Internet et mobile. Fort
d’un marché potentiel important et capitalisant sur le succès de son offre en Guyane et aux Antilles, le groupe a étendu son
activité mobile en fin d’année 2006 puis ses activités téléphonie fixe et Internet à Mayotte en février 2007 et son offre Mobile
à La Réunion en avril 2007. Le groupe entend également développer la convergence de ses différentes offres, sa clientèle
entreprise et proposer des services innovants grâce au caractère évolutif de son réseau.
Libellés :
Outremer Telecom
Samsung C520 Hello Kitty

Après le succès du slider U600 Hello Kitty, le duo de style se retrouve aujourd’hui sous la forme d’un clapet aussi mini que mimi. Disponible en libre service, le Samsung C520 Hello Kitty est tout simplement irrésistible !
Clin d’œil au plus légendaire des chatons, le Samsung C520 Hello Kitty tient dans la paume de la main et revêt les couleurs de ce petit personnage adulé par toute la planète. Née en 1974, Hello Kitty est, peu à peu, devenue l’étoile montante de la mode. Une tête ovale, deux yeux en bouton, un petit nez rond, six poils de moustache et un joli nœud, l’angélique Kitty séduit depuis plus de 30 ans petits et grands. Les stars l’ont adoptée, les plus grands couturiers l’ont habillée, l’UNICEF l’a choisie comme ambassadrice et le mobile Samsung C520 porte aujourd’hui sa griffe.
Son interface animée, joyeuse et colorée est directement inspirée des aventures du chaton. Animation et fonds d’écran, chacun pourra personnaliser son mobile à partir des illustrations préenregistrées: une véritable palette de graphismes et de couleurs variés pour plonger dans l’univers magique de Hello Kitty.
SAMSUNG - Hello Kitty, un duo de style qui inspire la bonne humeur.
Libellés :
samsung
Nokia E75
I have been given the opportunity to trial a Nokia E75 for the next week, thanks to the guys at mobiles.co.uk. As I use it I will add some thoughts here; initial impressions are positive, but certain annoyances are already starting to be revealed. I certainly don't think there is enough to tempt me away from my N82, that's for sure.
The phone is solid enough, feels well built, and is pretty hefty. I like the fact that there is a separate charging point, even though the E75 can also be charged by USB. This was one of the things that started to bug me with the N85. The QWERTY keyboard is usable, but redundant to me (anyone who has read posts here before will know, I can't stand QWERTY keyboards or touchscreens.)
I've put a few applications on it, will load some Maps later on, and see how the phone performs over the next few days. If anyone has anything they'd like to know about the handset, drop me a note in the combox and I'll check it out.
The phone is solid enough, feels well built, and is pretty hefty. I like the fact that there is a separate charging point, even though the E75 can also be charged by USB. This was one of the things that started to bug me with the N85. The QWERTY keyboard is usable, but redundant to me (anyone who has read posts here before will know, I can't stand QWERTY keyboards or touchscreens.)
I've put a few applications on it, will load some Maps later on, and see how the phone performs over the next few days. If anyone has anything they'd like to know about the handset, drop me a note in the combox and I'll check it out.
SFR Business Team simplifie la téléphonie mobile pour les entreprises grâce à sa nouvelle offre : SFR Business Mobile

Disponible dès le 29 avril, SFR Business Mobile permettra aux entreprises d’opter pour une gestion globale et personnalisée de leur flotte de mobiles, grâce à une gamme de forfaits simple, compétitive et sur mesure.
Parce que les collaborateurs d’une entreprise n’ont pas tous les mêmes usages de la téléphonie, SFR Business Team simplifie et optimise ses offres en proposant une seule et unique gamme pour les PME/PMI : la solution SFR Business Mobile.
Cette nouvelle solution de téléphonie mobile dédiée aux entreprises, est composée de cinq forfaits. Chaque forfait est adapté à un profil de consommation spécifique, du plus limité au plus intensif, intégrant selon les profils des heures, des communications en illimité, la messagerie (Business Mail Blackberry ou SFR) et l’accès Internet.
Avec SFR Business Mobile, SFR Business Team garantit aux entreprises une optimisation globale de leur flotte de mobiles ainsi qu’un budget maitrisé en leur proposant :
- la facturation à la seconde
- la mutualisation des heures au sein d’un forfait « global » et un ajustement automatique sur le meilleur tarif en cas de dépassement de ce forfait
- des appels en illimités (sauf pour le forfait Ligne Mobile Basic)
- des tarifs dégressifs en fonction de la durée d’engagement (12, 24 ou 36 mois)
- une remise tarifaire en fonction de l’ensemble des lignes du parc qui s’applique sur la totalité de la facture, y compris l’international.
Au-delà de leurs tarifs compétitifs, ces offres intègrent de nombreux services afin d’améliorer l’efficacité et la productivité des collaborateurs mobiles, tels :
- le remplacement d’un terminal défectueux en 24h
- la garantie du mobile pendant 24 mois
- la numérotation abrégée entre les mobiles et les fixes de l’entreprises*
- les profils d’accès permettant de gérer des restrictions d’usage en fonction de plages horaires ou de destination d’appel*
- un accès annuaire d’entreprise*
SFR Business Mobile peut également être couplée aux offres de téléphonie fixe de SFR Business Team, notamment 9Office SFR ou One Fix Centrex. Ainsi, les entreprises peuvent regrouper leurs dépenses dans le fixe et le mobile. Elles bénéficient alors d’encore plus d’économies.
* dans le cadre de la mise en place d’un réseau privé d’entreprise
A propos de SFR Business Team
SFR Business Team est le 1er opérateur alternatif fixe et mobile sur le marché des entreprises en France issu du rapprochement de SFR et de Neuf Cegetel.
Disposant d’infrastructures réseaux de bout-en-bout fixes et mobiles à très haut débit, SFR Business Team compte plus de 130 000 clients PME et grandes entreprises, représentant environ 35% des lignes mobiles et 40% des réseaux IP data des entreprises.
S’appuyant sur les nouvelles technologies (VoIP, M2M, data mobile 3G+) et la convergence et grâce à l’expertise de ses 2 000 collaborateurs dédiés (techniques, marketing, commercial et service client) et de ses 300 partenaires « solutions » SFR Business Team se positionne comme l’opérateur de référence capable de libérer tout le potentiel des entreprises, de la PME à la multinationale en leur proposant les solutions télécoms (téléphonie, données, Internet, Machine-to-Machine) les plus adaptées à leur activité et les plus évolutives. SFR Business Team bénéficie pour l’international de son partenariat avec le groupe Vodafone.
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SFR
mardi 28 avril 2009
Le Nokia 6216 classic : une nouvelle étape dans le déploiement de la technologie NFC

Espoo, Finlande et Monaco, Principauté de Monaco - Nokia a choisi la session d'ouverture de la troisième édition de la conférence WIMA, organisée cette année au Grimaldi Forum à Monaco, pour présenter publiquement son troisième mobile entièrement compatible NFC (Near Field Communication), le Nokia 6216 classic. Ce nouveau téléphone est le premier mobile Nokia NFC à embarquer une carte SIM permettant aux opérateurs de téléphonie mobile de développer des services NFC hébergés sur carte SIM. La technologie NFC facilite l'utilisation et le partage des contenus (images, liens Web, fichiers audio et données de contact) et permet d'effectuer des transactions de paiement et de billétique sécurisées directement à partir du mobile. Le Nokia 6216 classic devrait être commercialisé dès le troisième trimestre 2009 dans certains pays. Son prix de vente au détail est estimé à 150 € HT (hors subvention).
« Le Nokia 6216 classic s'impose comme l'un des tout premiers mobiles du marché à répondre aux exigences des opérateurs de téléphonie mobile qui utilisent la carte SIM pour sécuriser les transactions en communication NFC », déclare Jeremy Belostock, responsable du département NFC chez Nokia. « Avec le Nokia 6216 classic dans votre poche et les applications de paiement sur carte SIM, vous pouvez vous débarrasser de la plupart des cartes qui encombrent votre portefeuille. Du fait qu'elles sont hébergées sur la carte SIM, les applications sécurisées peuvent être facilement transférées vers n'importe quel mobile Nokia NFC de nouvelle génération. »
Les informations de cartes de crédit étant enregistrées sur la carte SIM de manière sécurisée, il suffit à l'utilisateur d'approcher son mobile d'un terminal de lecture sans contact pour régler un achat ou valider un billet ou un titre de transport*.
« La commercialisation du mobile Nokia 6216 classic équipé d'une carte SIM qui prend en charge les fonctionnalités NFC va donner un vrai coup d'accélérateur au développement des services de paiement et de billétique », assure Alex Sinclair, Chief Technology Officer de la GSM Association. « La technologie va ainsi s'étendre plus rapidement et les opérateurs devraient bientôt être nombreux à proposer des services NFC à leurs abonnés. »
En plus de la technologie NFC, le Nokia 6216 classic intègre des fonctionnalités qui font le succès des derniers modèles de mobiles, notamment un appareil photo numérique, un affichage en 16,7 millions de couleurs, une radio FM stéréo et un lecteur audio, une connectivité 3G et un slot microSD acceptant une carte mémoire jusqu'à 8 Go.
* Pour utiliser un service de paiement ou de billétique sans contact à partir d'un mobile, il faut que le mobile soit équipé d'une carte SIM NFC, que l'utilisateur soit abonné au service et qu'il ait installé l'application sécurisée qui convient.
À propos de Nokia
Premier fabricant mondial de terminaux mobiles en termes de parts de marché, Nokia est également un leader dans la convergence des métiers de l'Internet et des communications. Notre vaste gamme de mobiles grand public et nos services Internet garantissent aux utilisateurs une expérience optimale dans les domaines suivants : musique, navigation, multimédia, messagerie et jeux. Nous proposons également des solutions de cartographies numériques et de navigation complètes via NAVTEQ, ainsi que des équipements, des solutions et des services pour les réseaux de télécommunications via Nokia Siemens Networks.
Libellés :
nokia
lundi 27 avril 2009
Microsoft: What could have been
Larry King Live
Aired May 1, 2009 - 9:00 p.m. EDT
THIS IS A RUSH TRANSCRIPT. THIS COPY MAY NOT BE IN ITS FINAL FORM AND MAY BE UPDATED.
KING: Tonight, people are calling it the most important business transformation in a generation. Bill Gates, the founder, chairman, and CEO of Microsoft joins us live. Bill, Microsoft just announced its quarterly earnings, and for the first time your revenue from personal computers actually dropped.
GATES: The economy is very tough, and that's affecting computer sales, just like everything else.
KING: But Microsoft's revenue and profits continued to increase, right? The stock market sure loved what you said last week.
GATES: I think our strategy's really starting to take hold. We don't manage Microsoft for quarterly earnings, but it's nice to see that investors are recognizing the progress we've made.
KING: You mentioned a new strategy. That started what, about eight years ago?
GATES: Roughly. We spent a lot of time looking at our business, asking where we were going, and we realized three important things.
KING: What were they? Lay them out for me.
GATES: Well, the first was that the biggest danger to Windows was Microsoft itself, and they way we were managing the product. Our philosophy for the last decade had been that whenever there was an innovation in personal computers, we copied it into Windows or into Microsoft Office. If there was an important new application, we built it into Office. If Apple or somebody came up with a new personal computer feature, we built that feature into Windows.
KING: You were trying to compete.
GATES: Yeah, but the effect was that Windows and Office were growing exponentially. If you extrapolated out the growth curve -- the number of lines of code and the number of features -- you could see that within about a decade we'd hit an asymptote...
KING: An assy-what?
GATES: A point of diminishing returns, where Windows would become so complex that we'd have to spend all our time just fixing bugs instead of improving the product. We were destroying our own ability to innovate.
KING: But that wasn't the biggest problem, was it? Your behavior also made Microsoft unpopular.
GATES: Not just unpopular, our aggressive business practices made people stop investing in writing new PC software. The entrepreneurs and the VCs were starting to say, "why should I bother writing a new Windows software program? Even if I'm successful, Microsoft will just take over my business."
KING: How's that a problem? It just means fewer competitors for you, right?
GATES: Not really, because people weren't going to stop writing new software overall. They just stopped writing it on Windows. By competing so hard with our own developers, we were forcing them to innovate on the Internet instead. So here we were, Windows was growing so big that we couldn't innovate, and at the same time we were driving all the other innovators to work on the Internet instead of building on our platform. We were in danger of strangling our own business.
KING: You said there were three things you realized. What was the third one?
GATES: That was probably the most painful one for us to face. We had to admit to ourselves that we just weren't very good at managing things outside the PC business.
KING: But today Microsoft is viewed as one of the best managed companies in the world.
GATES: Today, sure. But ten years ago, we were like the repair guy who has only a hammer. Everything looks like a nail. We thought we were a software company, but actually we were a PC company. To us, everything looked like a PC. We thought we could take what we already knew and apply it to any other technology business. Microsoft had this reputation that the third time's the charm...
KING: Your first two versions stink, but on the third try you'll get it right.
GATES: I wouldn't say stinks, but...you know, ten years ago I would have jumped all over a statement like that. But yeah, people said things like that, and I think at some level we started to believe it about ourselves. So we would enter these new businesses, and our first efforts would be a failure, and we'd tell ourselves that it was okay because of the learning curve. But that wasn't it; the reality was that we just weren't very good at those other businesses. You look at all the new things we were investing in...
KING: Let's make a list, there were video games, smartphones...
GATES: Lots more than that. Tablet computers. Music players. At one point we were even creating an operating system for watches, if you can believe that. And we were developing all of these things in-house, and most of them were very mediocre, very uninspiring.
KING: So let me get this straight, you had three problems at once...
GATES: Our products were getting so big that we couldn't innovate, we had driven away the other people who could innovate, and we weren't good at the new businesses we were getting ourselves into. Now, none of this was totally obvious in 2001. You could still rationalize at the start of the decade that all we needed to do was work a little harder. In fact, in a lot of ways it looked like we were stronger than ever. So the pressure to stay the course was pretty extreme.
KING: But that wasn't what you did.
GATES: No. It was the biggest decision of my career, but right when we were at the peak, we decided we had to remake the company. If we were going to diversify beyond the PC market, we needed to figure out how to manage very different businesses within Microsoft. We had to be more like GE, where they can run radically diverse businesses like jet engines and finance inside one corporate entity. And instead of growing everything ourselves, we'd need to acquire some companies with different DNA.
KING: But acquisitions were a problem for you.
GATES: Right. Because the government had decided we were a monopoly, we couldn't just go out and buy a bunch of companies. We would've drowned in lawsuits. So first we had to change the way we managed Windows. That's why we signed the consent decree with the government, agreeing to open up all the interfaces of Windows at no charge, and to stop copying the features of other software companies. That got the Department of Justice off our backs -- I mean, that made the regulatory authorities more comfortable with our strategy. You know, Larry, I still don't think we actually did anything wrong, but sometimes the perception is just as damaging as the act...
KING: Of course.
GATES: Then we made it clear to the VCs that instead of competing with the best Windows software companies, we were going to buy them. That turned around the whole investment dynamic -- instead of creating new software companies on the web, they started telling all the entrepreneurs to create Windows software, because they had an easy exit strategy. Plus we were able to make our Windows development more focused, because we weren't obligated to compete with everything all at once. It's like what Cisco did in networking. Get other people to do your R&D for you, and just buy the best ones. So that re-ignited innovation in Windows.
KING: It sounds so simple.
GATES: Actually, it is pretty simple, if you let the companies you acquire keep running themselves. We used to acquire a company and then "align" it with our strategy. In practice, that meant it disappeared like a tuna in a school of sharks. That was probably the hardest lesson we had to learn at Microsoft, that our way wasn't always the best way.
KING: Let's open it up to the phones. Peoria, Illinois, you're on with Bill Gates.
CALLER: Hello?
KING: Yes, you're on live with Bill Gates. What's your question?
CALLER: I wanted to ask about the acquisitions you've made in the last decade. Which one are you most proud of?
GATES: Oh, it's hard to choose just one. But the deal that set up Microsoft North is one of my favorites. People said we were crazy to buy those guys. We had to pay almost $3 billion for them in 2002. It was a huge risk at the time; Ballmer almost threw a chair at me when we discussed it. But today they're responsible for the whole Microsoft Blackberry product line.
KING: You mean that wasn't developed in-house?
GATES: People forget about that today, but yeah we bought this Canadian company that made Blackberry, and put them in charge of our mobile strategy. The analysts thought we were crazy -- they said we could just copy Blackberry and build it into our server and PDA products. But I thought about Microsoft Bob, and decided it was better to spend the money than risk missing the market. You know, that one $3 billion investment is probably worth at least $30 billion today.
Then there was the joint venture with Nintendo. God only knows how much money we would have lost if we'd tried to go into video games on our own.
KING: We're almost out of time. Nine years ago, on January 1, 2000, we had you on this program and you said that the biggest danger to Microsoft was that you would become complacent. How did you avoid that?
GATES: By assuming that we were complacent, and attacking it. Here's the rule: If you even suspect that you're at risk of becoming complacent, you probably already are. I mean, we could have just gone along with business as usual. That would have been the safe decision.
KING: If you had taken the safe approach, where do you think Microsoft would be today?
GATES: It's so hard to say. If we hadn't changed, we probably could have muddled through with high profits for about a decade before things would have started to come apart. I might have even gotten bored and retired, or given away all my stock to a foundation. But by the end of the decade, there we'd be, most of our business would still be centered on the PC, and when that market started to shrink, then we'd be in real trouble.
KING: Could you have fixed the company if you'd waited that long?
GATES: I don't really know. I want to say yes, because you know I'm kind of competitive. But when a company starts shrinking, there's huge pressure from the shareholders to cut costs. And logically, the first thing you cut is the speculative new products that might get you out of the mess. If I had given up my stock, I might not even have enough control over the company to step in and say, "ignore the investors for a couple of years while we fix everything." It was hard enough to do back in 2001.
Once you start to shrink, it's very difficult to turn things around.
KING: Instead, here you are. Sure enough the PC market is shrinking, but Microsoft's still growing...
GATES: Because we changed our strategy to use the talents of others, rather than feeding off them.
KING: Thanks, Bill.
GATES: You bet.
KING: Bill Gates, the founder, chairman and CEO of Microsoft.
Tomorrow night: Monica Lewinsky, where is she now?
Thanks for joining us. I'm Larry King. Good night.
Aired May 1, 2009 - 9:00 p.m. EDT
THIS IS A RUSH TRANSCRIPT. THIS COPY MAY NOT BE IN ITS FINAL FORM AND MAY BE UPDATED.
KING: Tonight, people are calling it the most important business transformation in a generation. Bill Gates, the founder, chairman, and CEO of Microsoft joins us live. Bill, Microsoft just announced its quarterly earnings, and for the first time your revenue from personal computers actually dropped.
GATES: The economy is very tough, and that's affecting computer sales, just like everything else.
KING: But Microsoft's revenue and profits continued to increase, right? The stock market sure loved what you said last week.
GATES: I think our strategy's really starting to take hold. We don't manage Microsoft for quarterly earnings, but it's nice to see that investors are recognizing the progress we've made.
KING: You mentioned a new strategy. That started what, about eight years ago?
GATES: Roughly. We spent a lot of time looking at our business, asking where we were going, and we realized three important things.
KING: What were they? Lay them out for me.
GATES: Well, the first was that the biggest danger to Windows was Microsoft itself, and they way we were managing the product. Our philosophy for the last decade had been that whenever there was an innovation in personal computers, we copied it into Windows or into Microsoft Office. If there was an important new application, we built it into Office. If Apple or somebody came up with a new personal computer feature, we built that feature into Windows.
KING: You were trying to compete.
GATES: Yeah, but the effect was that Windows and Office were growing exponentially. If you extrapolated out the growth curve -- the number of lines of code and the number of features -- you could see that within about a decade we'd hit an asymptote...
KING: An assy-what?
GATES: A point of diminishing returns, where Windows would become so complex that we'd have to spend all our time just fixing bugs instead of improving the product. We were destroying our own ability to innovate.
KING: But that wasn't the biggest problem, was it? Your behavior also made Microsoft unpopular.
GATES: Not just unpopular, our aggressive business practices made people stop investing in writing new PC software. The entrepreneurs and the VCs were starting to say, "why should I bother writing a new Windows software program? Even if I'm successful, Microsoft will just take over my business."
KING: How's that a problem? It just means fewer competitors for you, right?
GATES: Not really, because people weren't going to stop writing new software overall. They just stopped writing it on Windows. By competing so hard with our own developers, we were forcing them to innovate on the Internet instead. So here we were, Windows was growing so big that we couldn't innovate, and at the same time we were driving all the other innovators to work on the Internet instead of building on our platform. We were in danger of strangling our own business.
KING: You said there were three things you realized. What was the third one?
GATES: That was probably the most painful one for us to face. We had to admit to ourselves that we just weren't very good at managing things outside the PC business.
KING: But today Microsoft is viewed as one of the best managed companies in the world.
GATES: Today, sure. But ten years ago, we were like the repair guy who has only a hammer. Everything looks like a nail. We thought we were a software company, but actually we were a PC company. To us, everything looked like a PC. We thought we could take what we already knew and apply it to any other technology business. Microsoft had this reputation that the third time's the charm...
KING: Your first two versions stink, but on the third try you'll get it right.
GATES: I wouldn't say stinks, but...you know, ten years ago I would have jumped all over a statement like that. But yeah, people said things like that, and I think at some level we started to believe it about ourselves. So we would enter these new businesses, and our first efforts would be a failure, and we'd tell ourselves that it was okay because of the learning curve. But that wasn't it; the reality was that we just weren't very good at those other businesses. You look at all the new things we were investing in...
KING: Let's make a list, there were video games, smartphones...
GATES: Lots more than that. Tablet computers. Music players. At one point we were even creating an operating system for watches, if you can believe that. And we were developing all of these things in-house, and most of them were very mediocre, very uninspiring.
KING: So let me get this straight, you had three problems at once...
GATES: Our products were getting so big that we couldn't innovate, we had driven away the other people who could innovate, and we weren't good at the new businesses we were getting ourselves into. Now, none of this was totally obvious in 2001. You could still rationalize at the start of the decade that all we needed to do was work a little harder. In fact, in a lot of ways it looked like we were stronger than ever. So the pressure to stay the course was pretty extreme.
KING: But that wasn't what you did.
GATES: No. It was the biggest decision of my career, but right when we were at the peak, we decided we had to remake the company. If we were going to diversify beyond the PC market, we needed to figure out how to manage very different businesses within Microsoft. We had to be more like GE, where they can run radically diverse businesses like jet engines and finance inside one corporate entity. And instead of growing everything ourselves, we'd need to acquire some companies with different DNA.
KING: But acquisitions were a problem for you.
GATES: Right. Because the government had decided we were a monopoly, we couldn't just go out and buy a bunch of companies. We would've drowned in lawsuits. So first we had to change the way we managed Windows. That's why we signed the consent decree with the government, agreeing to open up all the interfaces of Windows at no charge, and to stop copying the features of other software companies. That got the Department of Justice off our backs -- I mean, that made the regulatory authorities more comfortable with our strategy. You know, Larry, I still don't think we actually did anything wrong, but sometimes the perception is just as damaging as the act...
KING: Of course.
GATES: Then we made it clear to the VCs that instead of competing with the best Windows software companies, we were going to buy them. That turned around the whole investment dynamic -- instead of creating new software companies on the web, they started telling all the entrepreneurs to create Windows software, because they had an easy exit strategy. Plus we were able to make our Windows development more focused, because we weren't obligated to compete with everything all at once. It's like what Cisco did in networking. Get other people to do your R&D for you, and just buy the best ones. So that re-ignited innovation in Windows.
KING: It sounds so simple.
GATES: Actually, it is pretty simple, if you let the companies you acquire keep running themselves. We used to acquire a company and then "align" it with our strategy. In practice, that meant it disappeared like a tuna in a school of sharks. That was probably the hardest lesson we had to learn at Microsoft, that our way wasn't always the best way.
KING: Let's open it up to the phones. Peoria, Illinois, you're on with Bill Gates.
CALLER: Hello?
KING: Yes, you're on live with Bill Gates. What's your question?
CALLER: I wanted to ask about the acquisitions you've made in the last decade. Which one are you most proud of?
GATES: Oh, it's hard to choose just one. But the deal that set up Microsoft North is one of my favorites. People said we were crazy to buy those guys. We had to pay almost $3 billion for them in 2002. It was a huge risk at the time; Ballmer almost threw a chair at me when we discussed it. But today they're responsible for the whole Microsoft Blackberry product line.
KING: You mean that wasn't developed in-house?
GATES: People forget about that today, but yeah we bought this Canadian company that made Blackberry, and put them in charge of our mobile strategy. The analysts thought we were crazy -- they said we could just copy Blackberry and build it into our server and PDA products. But I thought about Microsoft Bob, and decided it was better to spend the money than risk missing the market. You know, that one $3 billion investment is probably worth at least $30 billion today.
Then there was the joint venture with Nintendo. God only knows how much money we would have lost if we'd tried to go into video games on our own.
KING: We're almost out of time. Nine years ago, on January 1, 2000, we had you on this program and you said that the biggest danger to Microsoft was that you would become complacent. How did you avoid that?
GATES: By assuming that we were complacent, and attacking it. Here's the rule: If you even suspect that you're at risk of becoming complacent, you probably already are. I mean, we could have just gone along with business as usual. That would have been the safe decision.
KING: If you had taken the safe approach, where do you think Microsoft would be today?
GATES: It's so hard to say. If we hadn't changed, we probably could have muddled through with high profits for about a decade before things would have started to come apart. I might have even gotten bored and retired, or given away all my stock to a foundation. But by the end of the decade, there we'd be, most of our business would still be centered on the PC, and when that market started to shrink, then we'd be in real trouble.
KING: Could you have fixed the company if you'd waited that long?
GATES: I don't really know. I want to say yes, because you know I'm kind of competitive. But when a company starts shrinking, there's huge pressure from the shareholders to cut costs. And logically, the first thing you cut is the speculative new products that might get you out of the mess. If I had given up my stock, I might not even have enough control over the company to step in and say, "ignore the investors for a couple of years while we fix everything." It was hard enough to do back in 2001.
Once you start to shrink, it's very difficult to turn things around.
KING: Instead, here you are. Sure enough the PC market is shrinking, but Microsoft's still growing...
GATES: Because we changed our strategy to use the talents of others, rather than feeding off them.
KING: Thanks, Bill.
GATES: You bet.
KING: Bill Gates, the founder, chairman and CEO of Microsoft.
Tomorrow night: Monica Lewinsky, where is she now?
Thanks for joining us. I'm Larry King. Good night.
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The lesson from OQO
A lot of people online are lamenting the business troubles of the OQO mini-computer. Wired's commentary is pretty typical: "When OQO’s excited developers showed me a prototype behind closed doors seven years ago, it was clear that the company was ahead of its time. Now, its time appears to be up." (Link)
Baloney. OQO's time never arrived in the first place.
I'm always sad to see any startup run into trouble; especially a device company, because they're so rare. OQO did some beautiful things technologically. But in my opinion, they never had a chance as a business. There just wasn't a significant market for a shrunken, compromised PC at the same price as a full-size laptop. At first OQO was supposed to be a horizontal market device, and when that didn't take off the company went after business verticals (the place where struggling consumer technologies go to die). Sometimes that works, but usually it ends up being a gradual way to wind down the company.
But why, if OQO is failing, are netbooks taking off? Two words: They're cheap. It's one thing to ask someone to pay $900 for a less functional notebook. It's quite another to ask them to pay $300.
The lesson: Don't build something just because you can. Make sure there's a real market for your device before you create it. Geeky coolness will impress Wired reporters, but it won't get you a lot of sales from real people.
Baloney. OQO's time never arrived in the first place.
I'm always sad to see any startup run into trouble; especially a device company, because they're so rare. OQO did some beautiful things technologically. But in my opinion, they never had a chance as a business. There just wasn't a significant market for a shrunken, compromised PC at the same price as a full-size laptop. At first OQO was supposed to be a horizontal market device, and when that didn't take off the company went after business verticals (the place where struggling consumer technologies go to die). Sometimes that works, but usually it ends up being a gradual way to wind down the company.
But why, if OQO is failing, are netbooks taking off? Two words: They're cheap. It's one thing to ask someone to pay $900 for a less functional notebook. It's quite another to ask them to pay $300.
The lesson: Don't build something just because you can. Make sure there's a real market for your device before you create it. Geeky coolness will impress Wired reporters, but it won't get you a lot of sales from real people.
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« Grenelle des ondes » TELE2 Mobile propose plus de concurrence, … et sans nouvelles antennes !

Face à la réserve affichée par les différentes parties prenantes réunies hier pour
un « Grenelle des ondes », et à ses conséquences évidentes sur le déploiement d’un nouveau réseau de téléphonie mobile dans le cadre de l’attribution pour la
quatrième licence de téléphonie mobile, TELE2 Mobile réaffirme que seuls les opérateurs virtuels (MVNO) sont capables de rendre concurrentiel le marché et
de faire baisser les prix de façon significative et sans délai, sans installer de nouvelles antennes.
TELE2 Mobile, MVNO rentable, et ce depuis 12 mois, fort d’une solide base
d’abonnés, rappelle son engagement à proposer des offres jusqu’à 50% moins chères si les conditions d’accès au réseau des opérateurs de réseau mobile sont
structurellement modifiées.
La première réunion de la table ronde sur les téléphones portables et les antennesrelais
a conclu que le débat devrait s’étendre sur le mois de mai et être prolongé, « si nécessaire », en évoquant « la possibilité de suspendre l’implantation de
nouvelles antennes en attendant le résultat de l’étude de l’Afsset (Agence Française
pour la Sécurité Sanitaire de l’Environnement) » (selon l’AFP).
Cette conclusion fait écho au retard pris dans la publication des conditions de
l’appel à candidature pour une quatrième licence de téléphonie mobile, licence qui devait être attribuée avant l’été.
Dans ce contexte, TELE2 Mobile rappelle que l’attribution d’une 4ème licence comme
seule mesure pro-concurrentielle sur un marché de la téléphonie mobile verrouillé de longue date, n’aura malheureusement qu’un impact très limité. En effet, la
baisse de tarif attendue, et estimée par le gouvernement lui-même, n’est que de 7% … dans 3 ans !Les retards déjà pris et les problèmes qui se font jour, allongeront,
de toute évidence, ce délai et diminueront d’autant l’impact concurrentiel de cette 4ème licence.
TELE2 Mobile réaffirme qu’il peut proposer des baisses de tarifs immédiates sans
déployer de nouvelles antennes, à condition de disposer du statut de « full MVNO » avec accès au réseau plutôt que d’acheter, comme c’est le cas aujourd’hui, de la
minute en gros dans des conditions dénoncées par le Conseil de la concurrence et l’ARCEP en juillet dernier.
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Tele2 Mobile
dimanche 26 avril 2009
Checking in on smartphone and Twitter usage
Over at Rubicon, we just did a quick consumer survey to check the status of a couple of hot topics in the tech industry, smartphone adoption and use of Twitter. I thought you might be interested. Here's a summary of what we found, and links to the full articles:
Smartphone adoption: RIM leads. In the US, about 10%-11% of the adult population uses smartphones. RIM has just under half of the installed base, followed by Apple at about a quarter.
The users of different types of smartphone have different feature priorities. iPhone users rate web browsing as their #1 feature, followed closely by e-mail. RIM users rank e-mail the most important feature, Palm users choose calendar, and Google phone users are partial to mapping. The profile for Windows Mobile users is similar to RIM's, but less enthusiastic about e-mail.

Mobile phone feature priorities of iPhone users compared to all mobile phone users. Percent of US users ranking a feature in their top four.
I think this is more evidence of something that I've been saying for a while -- most people buy phones more like they do appliances than like computers. They decide which functions are most important to them, and then pick the phone that does those things best, rather than looking for the best general-purpose device.
That's not to say that flexibility doesn't matter at all, but it's secondary. For example, adding third party apps is the #4 priority among iPhone users, and close to tied with several other features. It will be interesting to see how the priority evolves as Apple continues to advertise the daylights out of the app store.
For the full article, click here.
Twitter is a form of entertainment. Usage of Twitter is rising very rapidly -- as of April, it gets more daily visitors than cnn.com in the US, according to Alexa.com.
Our survey showed that the Twitter user base has more than doubled in the last six months. About 10% of US computer users have tried Twitter so far, and about a third of those people have stopped using it. You can decide for yourself if that's a big number or not, but a certain amount of churn is inevitable in any new web service.

Twitter awareness and usage among US PC users.
Most Twitter users say they are casual users of the service, and that it doesn't play an important part of their personal or business lives. The most active 10% of Twitter users say it does play an important role in their personal lives, but not in their business lives.
The overall pattern of usage indicates that for most people Twitter is currently a form of casual entertainment. There's nothing wrong with that, but the future of Twitter will depend on how that usage pattern evolves. Will Twitter become as important as e-mail, or will it be a fad like citizens' band radio (link)? It's too early to tell. But it's already clear that it's a separate medium with its own rules. Companies looking to use Twitter should make sure they understand how it's used; it's not the same as blogging.
For the full article, click here.
Smartphone adoption: RIM leads. In the US, about 10%-11% of the adult population uses smartphones. RIM has just under half of the installed base, followed by Apple at about a quarter.
The users of different types of smartphone have different feature priorities. iPhone users rate web browsing as their #1 feature, followed closely by e-mail. RIM users rank e-mail the most important feature, Palm users choose calendar, and Google phone users are partial to mapping. The profile for Windows Mobile users is similar to RIM's, but less enthusiastic about e-mail.

Mobile phone feature priorities of iPhone users compared to all mobile phone users. Percent of US users ranking a feature in their top four.
I think this is more evidence of something that I've been saying for a while -- most people buy phones more like they do appliances than like computers. They decide which functions are most important to them, and then pick the phone that does those things best, rather than looking for the best general-purpose device.
That's not to say that flexibility doesn't matter at all, but it's secondary. For example, adding third party apps is the #4 priority among iPhone users, and close to tied with several other features. It will be interesting to see how the priority evolves as Apple continues to advertise the daylights out of the app store.
For the full article, click here.
Twitter is a form of entertainment. Usage of Twitter is rising very rapidly -- as of April, it gets more daily visitors than cnn.com in the US, according to Alexa.com.
Our survey showed that the Twitter user base has more than doubled in the last six months. About 10% of US computer users have tried Twitter so far, and about a third of those people have stopped using it. You can decide for yourself if that's a big number or not, but a certain amount of churn is inevitable in any new web service.

Twitter awareness and usage among US PC users.
Most Twitter users say they are casual users of the service, and that it doesn't play an important part of their personal or business lives. The most active 10% of Twitter users say it does play an important role in their personal lives, but not in their business lives.
The overall pattern of usage indicates that for most people Twitter is currently a form of casual entertainment. There's nothing wrong with that, but the future of Twitter will depend on how that usage pattern evolves. Will Twitter become as important as e-mail, or will it be a fad like citizens' band radio (link)? It's too early to tell. But it's already clear that it's a separate medium with its own rules. Companies looking to use Twitter should make sure they understand how it's used; it's not the same as blogging.
For the full article, click here.
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jeudi 23 avril 2009
Orange conclut avec la Fondation Wikimedia le premier partenariat mondial dans les domaines du mobile et de l’internet

Ce partenariat, premier du type, vise tout d’abord à élargir l’accès aux contenus Wikimedia aux portails web et mobile d’Orange.
Les deux partenaires travailleront ensemble au développement de nouvelles fonctionnalités liées à l’encyclopédie Wikipedia, le service emblématique de la Fondation Wikimedia.
Orange et la Fondation Wikimedia signent aujourd’hui un partenariat stratégique de grande ampleur au bénéfice de tous leurs utilisateurs ayant pour but d’élargir l’accès libre à la connaissance.
Opérateur européen leader des audiences internet avec 55 millions de visiteurs uniques par mois[1], Orange offrira à ses clients un accès plus simple et plus rapide aux contenus de Wikimedia en France, au Royaume-Uni, en Pologne et en Espagne :
- Création de chaînes spécifiques pour l’encyclopédie Wikipedia sur les portails web et mobile d’Orange
- Enrichissement de certaines rubriques des portails web et mobile d’Orange avec des liens vers les informations Wikipedia contextuelles.
- Développement de widgets mobile et PC permettant aux utilisateurs d’accéder directement aux informations qu’ils recherchent à partir de l’écran d’accueil de leur mobile ou de leur PC.
Par la suite, les deux partenaires travailleront ensemble pour créer une gamme de nouveaux services innovants et simples, dans les domaines du mobile, de l’internet et de la TV, et étendront leur partenariat à l’ensemble des pays européens dans lesquels la marque Orange est présente.
« Chez Orange, nous nous engageons à garantir à nos clients un accès simple et intuitif à l’information la plus large possible sur le PC, le mobile et la TV. En offrant à nos clients une nouvelle façon d’accéder aux contenus de Wikipedia, l’une des marques les plus reconnues et les plus appréciées sur la toile, nous demeurons fidèles à notre promesse », a indiqué Paul-François Fournier, Directeur de l’Audience chez Orange.
« La Fondation Wikimedia s’est engagée à rendre le savoir accessible au plus grand nombre en multipliant ses canaux de diffusion » a déclaré Sue Gardner, Directrice Générale de la Fondation Wikimedia, avant d’ajouter « le leadership d’Orange dans le domaine des mobiles et sa capacité d’innovation en font le partenaire idéal pour nous aider à augmenter notre audience. La Fondation accueille favorablement les partenariats qui nous permettent d’accomplir notre mission et respectent la valeur du travail accompli par notre communauté ».
Ce partenariat s’inscrit dans la stratégie d’Orange visant à offrir à ses clients des contenus attractifs répondant à leurs attentes et permettra de renforcer la diffusion des services proposés par la Fondation Wikimedia, notamment sur le marché mobile en Europe et dans un contexte d’accroissement des usages de l’internet mobile. Au travers de ce partenariat, Orange apporte également son soutien à la mission centrale de la Fondation Wikimedia qui consiste à améliorer et accroître la diffusion de l’encyclopédie Wikipedia ainsi que d’autres projets collaboratifs de diffusion des connaissances, de façon à toucher de nouveaux utilisateurs.
Retrouvez toutes les informations sur le partenariat Orange Wikimedia en images sur : www.orange-innovation.tv/wikimedia
[1] comScore, février 2009.
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vendredi 17 avril 2009
Nokia lance son dernier mobile de prestige le Nokia 8800 Gold Arte

A tous les amoureux d’objet alliant prestige et design, Nokia propose le 8800 Gold Arte, dernier-né de la gamme Premium. Véritable travail d’orfèvre, ce téléphone d’exception arbore un luxueux cuir blanc et un plaquage or 18 carats. Cet appareil haut de gamme au design intemporel est pourvu d’une mémoire interne de 4 Go. Objet de raffinement, dans lequel se mêlent conception de haute précision et matériaux de qualité, le 8800 Gold Arte possède également un appareil photo 3.2 Megapixel autofocus avec zoom digital x8 ainsi que des vidéos et sonneries spécifiques dédiées à la gamme des 8800 Arte.
Le luxe selon Nokia c’est aussi le traitement anti-traces de doigts des surfaces en verre et métal. Son kit oreillette Bluetooth aux tons coordonnés vient renforcer son élégance naturelle. Le 8800 Gold Arte sera disponible à partir du deuxième trimestre 2009 et sera commercialisé au prix de 1799 euros TTC (hors subvention d’opérateur).
À propos de Nokia
Premier fabricant mondial de terminaux mobiles en termes de parts de marché, Nokia est également un leader dans la convergence des métiers de l'Internet et des communications. Notre vaste gamme de mobiles grand public et nos services Internet garantissent aux utilisateurs une expérience optimale dans les domaines suivants : musique, navigation, multimédia, messagerie et jeux. Nous proposons également des solutions de cartographies numériques et de navigation complètes via NAVTEQ, ainsi que des équipements, des solutions et des services pour les réseaux de télécommunications via Nokia Siemens Networks.
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jeudi 16 avril 2009
Orange et Nokia étendent leur partenariat stratégique à la messagerie électronique sur mobile

Les deux entreprises s'associent à l'échelle internationale pour ajouter la messagerie e-mail à la musique, aux jeux et la cartographie dans le cadre de l'offre multimédia mobile la plus complète du marché
Orange et Nokia annoncent aujourd'hui leur décision d'étendre leur partenariat stratégique à la messagerie électronique sur mobile. Cette extension de leur accord multi-pays permettra de lancer une solution co-marquée. « Nokia Messaging by Orange » offrira un service messagerie facile à utiliser, accessible aussi bien aux particuliers qu’aux professionnels, sur une sélection de terminaux de la gamme Signature d'Orange.
Aux termes de cet accord sur trois ans, annoncé en février 2008 et destiné à répondre à l'engouement croissant pour le multimédia mobile, les deux entreprises s'engagent à associer et intégrer leurs meilleurs services dans les domaines de la musique, des jeux et de la cartographie. Cette alliance se déploiera au cours de l’année 2009 dans huit pays et sur 30 téléphones Nokia de la gamme Signature Orange.
Les clients Orange pourront, où qu'ils se trouvent, gérer plusieurs comptes de messagerie e-mail mobile de façon centralisée via l'écran d'accueil Orange. Facile à installer, ce service permet d'accéder directement à un maximum de 10 comptes de messagerie personnels. Les utilisateurs peuvent lire, envoyer et transférer des messages, ainsi qu'y répondre, afficher des sous-dossiers, télécharger et lire des pièces jointes et joindre des fichiers à des messages directement sur leur appareil Nokia.
Premiers pays concernés : le Royaume-Uni, où le service sera disponible à partir de cet été, puis la France et l’Espagne sur le Nokia E75. Les clients Orange pourront alors profiter de la messagerie « push » sur le Nokia E75 et sur une sélection de mobiles Nokia.
« Il y a de cela seulement quelques semaines, nous avons annoncé notre projet de faire du multimédia mobile un phénomène grand public », déclare Olaf Swantee, Directeur exécutif de la division Mobiles d'Orange. « Ce partenariat étendu avec Nokia prouve notre détermination à donner à chacun de nos clients la possibilité d'accéder à l'internet mobile sur son téléphone. Forts de notre leadership en matière d'innovation, de notre savoir-faire reconnu en matière de convergence sur nos réseaux fixe, mobile et haut débit et de notre connaissances des consommateurs, nous sommes convaincus que cette offre contribuera à renforcer l'engouement des utilisateurs pour la messagerie mobile. »
« Depuis plusieurs mois, Orange et Nokia collaborent et mettent en commun leurs ressources et plates-formes pour fournir aux clients mobiles d'Orange les meilleurs services du marché », confirme Raoul Roverato, directeur exécutif en charge des nouvelles activités de croissance d'Orange. « En franchissant ce nouveau pas dans notre partenariat avec Nokia, nous sommes plus que jamais déterminés à apporter aux clients d'Orange ce petit plus qui fera toute la différence dans leur vie de tous les jours. Cela ouvre la voie à de nouvelles opportunités de partenariat entre nos deux entreprises dans les prochains mois. »
« Orange est le premier opérateur à proposer Nokia Messaging à ses clients à l'échelle européenne, et nous ne pouvons que nous réjouir de cette collaboration étendue dans le domaine des services », précise pour sa part Kai Öistämö, vice-président directeur général de Nokia. « Cet accord concernant Nokia Messaging va non seulement favoriser l'adoption de ce nouveau service de messagerie mobile, mais également simplifier son activation sur l'appareil ou sur le point de vente. Nous pensons que la messagerie mobile est un service auquel tout le monde, et non seulement une petite partie du grand public, doit pouvoir accéder. »
Orange et Nokia ont décidé d'un commun accord de lancer Nokia Messaging by Orange dans plusieurs pays en 2009. Les offres et tarifs seront annoncés localement via le réseau Orange.
mercredi 15 avril 2009
Nothing Better

A while back, as I posted about occasionally, I've been trying to look at other handsets, to see if there is anything else that can offer what I want from a phone. I've looked at Eseries devices, I've used phones from other manufacturers, I've probably changed handsets more in the last few months than I have in the last few years.
Most recently, I've used the Samsung Tocco, the LG Renoir. I've got a Motorola Z10, I've had the Sony Ericsson C905, a Nokia E51, E66, E71, a Nokia 5800, an N85, an N95 8GB, and the N82. They are all in their own right good handsets, but there's not one there that is better than the NSeries, for all round power, features, usability and durability.
The Tocco has to be the worst device I've ever used for web browsing, the Renoir is just a mess. The Z10 is a good imaging device, with some nice editing features (Something the Nseries lack, strangely) but isn't the most user friendly device, and there is little in the way of additional software available. The C905 has a great camera, but is slow, buggy, and has real hardware issues; The E51 is a great device, if I had to be ultra picky, the screen is too small which really effects web browsing and the camera shouldn't even be included, it's not worth having. The E66 and E71 are great devices, with excellent build quality, I really like them. The E66 is let down with a really poor battery, and I found I didn't get on with the keys on the E71. Moving on to the 5800, it's a nice enough device for what it is, but a lesson I still need to heed is I don't like touchscreen. I battled with it, to try and get on with the phone, but when I want to scroll down a page, I just want it to happen. Sometimes trying to get a response from a touchscreen phone is just a major pain in the ass, it really is. Web browsing generally is difficult, as not all sites are optimised, and this means selecting links isn't always easy. At least with a keypad phone, I can navigate the browser simple and easy, and highlight any link I want, quickly and easy.
As for the three Nseries phones, the N85 is nice enough, and would replace an N95 8GB for most people, but there are some points that I didn't like. Like having to turn all warning sounds off just to not have to listen to that awful noise every time I selected something in the menu! How could anyone ever think that was acceptable? The slightly different menu layout was a bit cumbersome, too, making extra button pushes for some features that became annoying. I did like the new way to customise the Homescreen though, at least I was able to get rid of all the ugly writing that is otherwise on the screen when calendar appointments are saved. It would have been nice to be able to choose my own icons on the screen when lining the screen up with a side view active standby though, I couldn't find how to do that.
So, after much cash spent, and many handsets come and gone, I have (eventually) come to the conclusion, there is nothing better than Nseries, and to top that, there is nothing better than the N95 8GB or the N82. Both look great, packed with features, stable OS, excellent all round imaging, web browsing, music playback, video capture, and so on. The GPS is probably quicker on the N82, the keypad on the N95 8GB is better though.
Until the speaker went, I was using an N95 8GB, now using an N82. I hope I've learnt my lesson; when it comes to phones, there is nothing better than these.
vendredi 10 avril 2009
Vinaphone choisit Alcatel-Lucent pour moderniser son réseau mobile au Vietnam

Alcatel-Lucent (Euronext Paris et NYSE : ALU) annonce avoir signé un contrat de plusieurs dizaines de millions de dollars avec Vinaphone, le deuxième opérateur mobile du Vietnam, pour la modernisation de son réseau GSM avec des fonctionnalités avancées EDGE pour les données à haut débit dans 16 provinces du nord du pays. La solution économique d’Alcatel-Lucent donne à Vinaphone la possibilité d’introduire ultérieurement de nouvelles technologies telles que EDGE+, W-CDMA, HSPA, HSPA+ et LTE, avec une voie d’évolution progressive pour répondre aux besoins de son marché.
Le contrat a été signé par Alcatel-Lucent Shanghai Bell, la filiale d’Alcatel-Lucent en Chine. Le déploiement est actuellement en cours et le réseau étendu offrira des services commerciaux à partir d’avril 2009.
Lors de la mise en service commerciale, ce projet de mise à niveau et de modernisation augmentera considérablement la capacité et la couverture du réseau de Vinaphone et permettra par la suite à l’opérateur de proposer à ses clients un vaste choix de services avancés. La technologie de réseau mobile avancé d’Alcatel-Lucent formera une base solide pour la construction du futur réseau 3G de Vinaphone.
Selon les termes du contrat, Alcatel-Lucent sera en charge de la conception, du déploiement et de la maintenance de sa solution d’accès radio GSM/EDGE multistandards leader du marché, qui comprend sa dernière plate-forme de contrôleur de station de base et des modules TWIN transceivers.
« Grâce à notre forte présence dans le pays, nos compétences en gestion de projet et notre technologie radio de pointe, nous sommes sûrs de pouvoir aider Vinaphone à atteindre son objectif et à fournir à ses clients certains des services mobile les plus modernes du Vietnam, »a déclaréOlivia Qiu, présidente d’Alcatel-Lucent Shanghai Bell.
Avec 350 réseaux commerciaux mobiles déployés dans le monde, Alcatel-Lucent est l’un des principaux acteurs du marché des infrastructures mobiles. Avec plus de 500.000 armoires multistandards livrées depuis 1999, sa technologie d’avant-garde de stations de base multistandards est conçue pour soutenir la transformation IP et fait partie de sa stratégie unique de réseaux d’accès radio (RAN) convergés permettant aux opérateurs d’évoluer en douceur vers les futures technologies mobiles haut débit. Alcatel-Lucent est également leader mondial dans les domaines de la conception, du déploiement, de la gestion et de l’intégration des réseaux.
À propos de Vinaphone
Fondé officiellement en juin 2006, Vinaphone est devenu l’un des trois plus importants opérateurs mobiles du Vietnam et compte aujourd’hui plus de 13 millions d’abonnés. En 2007, Vinaphone a dépensé plus de 100 millions de dollars pour installer près de 2000 BTS afin d’assurer la couverture mobile de tous les districts du pays, en mettant l’accent sur les zones frontalières et rurales. En 2008, Vinaphone prévoyait de déployer 3000 BTS supplémentaires et d’atteindre ainsi un total de 8000. Pour 2009, la stratégie de Vinaphone porte sur la couverture réseau, le marketing et le développement de la marque.
A propos d’Alcatel-Lucent
Alcatel-Lucent (Euronext Paris et NYSE: ALU) est le partenaire privilégié des fournisseurs de services, des entreprises et des administrations du monde entier, leur offrant des services voix, données et vidéo pour leurs propres utilisateurs et clients. Leader dans les réseaux haut débit fixes, mobiles et convergés, les technologies IP, les applications et les services, Alcatel-Lucent s'appuie sur l'expertise technique et scientifique unique des Bell Labs, une des plus grandes organisations de recherche de l'industrie des communications. Avec une présence dans 130 pays, et l'équipe de service la plus expérimentée de l'industrie, Alcatel-Lucent est un partenaire local avec une dimension internationale. Alcatel-Lucent qui a réalisé des revenus de 16,98 milliards d'euros en 2008, est une société de droit français, avec son siège social à Paris. Pour plus d’informations, visitez le site d’Alcatel-Lucent à l’adresse www.alcatel-lucent.com
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Le Car kit Nokia CK-600, garantit une grande qualité audio, pendant tous les déplacements

Nokia propose le car kit CK-600, alliant à la fois la fonctionnalité mains libres et la diffusion de la musique. Cet appareil profite d’une grande qualité audio grâce à son DSP interne effectuant un traitement numérique optimal du signal (réduction des bruits ambiants et annulation de l’effet écho).
La diffusion de la musique s’opère par l’intermédiaire de la technologie sans fil Bluetooth stéréo. Facile à utiliser, le nouvel écran couleur amovible de 2.2 pouces et sa télécommande élégante aux touches lumineuses, permettent d’accéder à toutes les fonctions clés. Il jouit d’une réelle multi compatibilité soutenant les spécifications 2.0 Bluetooth. Le CK-600 bénéficie d’une installation simplifiée, grâce au câble ISO, d’une Mute box et d’une sonde de mouvement.
Ce produit est disponible depuis le mois d’Avril 2009, il est commercialisé au prix de 249 euros TTC.
À propos de Nokia
Premier fabricant mondial de terminaux mobiles en termes de parts de marché, Nokia est également un leader dans la convergence des métiers de l'Internet et des communications. Notre vaste gamme de mobiles grand public et nos services Internet garantissent aux utilisateurs une expérience optimale dans les domaines suivants : musique, navigation, multimédia, messagerie et jeux. Nous proposons également des solutions de cartographies numériques et de navigation complètes via NAVTEQ, ainsi que des équipements, des solutions et des services pour les réseaux de télécommunications via Nokia Siemens Networks.
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mardi 7 avril 2009
WDSGlobal et HP s'associent dans le but d'améliorer les expériences clients dans le domaine de la gestion des appareils mobiles

WDSGlobal a annoncé aujourd'hui la signature d'un accord mondial permettant à HP de distribuer le logiciel DCE (Device Configuration Engine) de WDSGlobal aux clients des Mobility Solutions d'HP.
L'offre, qui cible les opérateurs de télécommunications mobiles, réunira le MCC d'HP (Mobile Management Center) et le DCE de WDSGlobal (Device Configuration Engine) en une solution de gestion intégrée et complète des appareils mobiles qui permettra d'améliorer la qualité des services d'accès aux données à valeur ajoutée dans tout le secteur des téléphones multifonctions.
" Pour les opérateurs de télécommunications mobiles, la gestion des appareils mobiles est devenue un outil indispensable pour gérer à distance les solutions de connectivité des abonnements mobiles et maintenir l'accès aux services de données mobiles. Nous avons choisi HP en raison de leur connaissance de la gestion des appareils mobiles, du succès de leur première collaboration sur le marché chinois et de la configuration de leur solution MMC, facilement intégrable dans notre actuelle technologie DCE ", a déclaré John Ainsworth, vice-président partenaires de WDSGlobal.
La solution est actuellement disponible chez HP et représente un élément clé du portefeuille " Mobile Solutions " d'HP.
À propos de WDSGlobal
Depuis 1995, WDSGlobal se consacre à aider les opérateurs de télécommunications mobiles, les fabricants de combinés et les prestataires de services à proposer des produits et des services plus rentables aux utilisateurs finaux. De la validation des combinés et des tests de fonctionnement à la gestion des dispositifs mobiles et à l'assistance à l'utilisateur final, WDSGlobal offre la solution de gestion des utilisateurs finaux, des dispositifs et des services la plus complète du secteur. Convaincu que la rentabilité des clients finaux repose sur l'efficacité de la prévention des problèmes et de la gestion de l'expérience client et non sur la gestion des problèmes, la structure GlobalMine de la société regroupe, valide et partage, en permanence, les données relatives aux appareils, aux services et aux tendances utilisateurs. Cette démarche est conçue pour optimiser l'efficacité de ses produits et services de classe transporteur, mais aussi pour aider les clients à migrer vers le nouveau service, développer la fidélité et réduire les coûts indirects. Pour plus d'informations, consultez le site de la société sur www.wdsglobal.com
À propos d'HP
HP, la plus grande société technologique du monde, propose des produits et des services informatiques, des imprimantes, des logiciels et des solutions qui simplifient les expériences technologiques tant pour les particuliers que les entreprises. Pour plus d'informations sur HP (NYSE : HPQ), consultez le site de la société sur www.hp.com.
Nouveau mobile Sony Ericsson T707 : Maria Sharapova en est déjà fan!

Les Fashion-addict, modeuses et autres serial-shoppeuse s’arracheront le nouveau mobile T707, le summum de l’high-tech glamour ! A l’instar de la célèbre tenniswoman, le mobile T707 incarne, avec ses effets lumineux, l’élégance et le raffinement.
Interactif, le T707 devance les demandes de son utilisateur et s’illumine lors de la réception d’un appel ou d’un message. Il est même possible d’attribuer une couleur pour chacun de ses proches : rouge pour notre moitié, rose pour notre meilleure amie, bleu pour notre frère, etc.
Les working-girl seront adeptes du contrôle gestuel. D’un simple mouvement de la main au-dessus de l’écran, il est ainsi possible de couper court à un appel …
Pour Maria Sharapova, déjà fan de ce mobile : « Le T707 est LE nouvel accessoire dont je ne peux plus me passer. Toujours en déplacement, j’ai absolument besoin d’un mobile simple d’utilisation tout en restant chic ! Avec le T707, je ne manque jamais un appel grâce aux effets lumineux. J’adore également refuser un appel d’un seul geste de la main, vérifier mes e-mails lors de mes voyages ou bloguer mes dernières photos en quelques secondes. »
Un mobile caméléon, qui accessoirise chaque jour votre look
Pour les fashionistas, le T707 s’assortit facilement aux tenues vestimentaires, grâce à sa panoplie de coques disponibles dans toutes les dernières couleurs à la mode. Ainsi, comme pour Maria, le mobile s’assortit aux vêtements portés, des tennis blanches à la petite robe noire en passant par l’imprimé vu sur les podiums lors des derniers défilés ! Les thèmes du fond d’écran sont variés et évoluent au fur et à mesure, à l’approche de la soirée.
A chaque pose, un cliché souvenir !
L’appareil photo de 3,2 mégapixels, garanti une image fidèle à la réalité. Les photos peuvent alors être téléchargées en quelques secondes sur les réseaux sociaux à l’aide du navigateur web HTML.
Les adeptes de la mode apprécieront également de visionner leurs clichés sur l’écran de 2,2 pouces personnalisable.
De la mode, de la photo… et du loisir !
Contrairement à un sac ou un portefeuille, vous n’oublierez jamais votre T707. La radio FM et la fonctionnalité audio Bluetooth™ en streaming sont un réel divertissement une fois hors de chez soi. Le T707 permet également de télécharger de la musique, des jeux et des sonneries grâce à la fonction PlayNow™. Avec le T707, vous pouvez dire adieu à l’ennui !
Pour David Mignot, Directeur Marketing et Communication de Sony Ericsson France : « Le T707 est un pas supplémentaire de Sony Ericsson vers l’univers de la mode. Maria Sharapova est l’égérie idéale pour nous : incarnant non seulement l’élégance mais aussi le talent, elle est le reflet idéal du T707. Ce mobile est capable d’accomplir des tâches complexes, tout en restant raffiné et séduisant : une combinaison gagnante ! »
Le T707 est compatible avec les réseaux GSM/GPRS/EDGE 850/900/1800/1900 UMTS/HSDPA 2100 et GSM/GPRS/EDGE 850/900/1800/1900 UMTS/HSDPA 850/1900/2100.
Il sera disponible en noir, rose et bleu à partir du deuxième trimestre.
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Sony Ericsson
lundi 6 avril 2009
Samsung G600 AIRNESS, l'instinct mobile

Mobile urbain, le Samsung G600 AIRNESS est marqué de l'empreinte de la panthère. Slider stylé et multimédia, il incarne l'agilité, la force et l'élégance de l'animal emblématique de la marque française de sportswear. Racé et moderne, le Samsung G600 AIRNESS reflète un véritable style de vie orienté vers la quête de liberté aux sources de l'instinct.
Une marque plébiscitée
Reconnue pour son action dans le football, mais aussi dans le rugby ou le tennis, AIRNESS s'est imposée comme la marque de sport la plus tendance de ces dernières années. Fondée par l'ancien sportif Malamine Koné, AIRNESS est aujourd'hui sollicitée par toute une génération. Alliance du style et de la puissance technologique, le Samsung G600 AIRNESS porte les valeurs de la marque: audace, combativité et persévérance.
Un style félin
Avec son design noir glossy, ses inscriptions rouges et ses fonds d'écran personnalisés, le Samsung G600 AIRNESS impose immédiatement son allure urbaine et son esprit rebelle. La musique fait également partie de son ADN tant par la qualité du son que par la playlist de titres sélectionnés par AIRNESS. L'interface (icônes et fonds d'écran) reflète l'esprit de la marque sport fashion.
Des performances multimédia
Le Samsung G600 AIRNESS explore tous les territoires urbains en saisissant sur l'instant les scènes de vie avec son capteur de 5 millions de pixels ou en enregistrant des vidéos MPEG-4. Diaporamas photo et séquences vidéo peuvent aussitôt être visionnés sur l'écran 2,2". Particulièrement lumineux, il permet une lecture verticale et horizontale en 16 millions de couleurs.
Le baladeur numérique embarqué permet d'écouter la musique telle qu'on aime la partager et de capter la radio FM avec système RDS.
En déplacement, il offre une excellente autonomie et une grande capacité de stockage via le lecteur MicroSD permettant d'enregistrer photos, vidéo, MP3 mais aussi des fichiers PowerPoint, Word, Excel et PDF. Ces derniers peuvent, en effet, être visualisés directement à partir du mobile ou sur un plus grand écran en reliant l'appareil à un PC ou à un téléviseur.
De l'aventure photographique à l'aventure sonique, le Samsung G600 AIRNESS investit toutes les scènes multimédia.
Disponibilité du Samsung G600 Airness, avril 2009 : 199€ TTC (hors abonnement)
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Samsung Player Ultra, le slider hybride 8 Mégapixels

SAMSUNG Electronics annonce la commercialisation du SAMSUNG PLAYER ULTRA, l'alliance absolue du slider et du tactile, de l'élégance et de la technologie. Dévoilé lors du dernier Mobile World Congress, le SAMSUNG PLAYER ULTRA préfigure la nouvelle expérience de mobiles tactiles de la marque.
Un nouveau regard sur le tactile
Toujours à la pointe de l'innovation, SAMSUNG Electronics enrichit sa collection PLAYER d'un mobile hybride inédit réunissant un clavier coulissant et un grand écran entièrement tactile.
«Avec ses lignes raffinées, le SAMSUNG PLAYER ULTRA est l'un des plus élégants tactiles de notre nouvelle collection. Il incarne l'exigence de design de la marque» a déclaré M. JK Shin, Vice Président Exécutif, Directeur de la division télécommunication de SAMSUNG Electronics. «Nous avons tenu à enrichir notre gamme de mobiles tactiles en introduisant une grande variété de design pour répondre à tous les styles de vie.» a-t-il ajouté.
Ultra Style
Slider stylé en métal brossé, le PLAYER ULTRA est particulièrement fin (12,8mm), ergonomique et résistant. Son grand écran tactile AMOLED 2,8" de 16 millions de couleurs est en verre trempé anti-rayure, paré à toutes les épreuves… même à celle des clefs au fond d'un sac à main ou d'une poche. En mode photo ou en mode «Internet», il suffit de basculer l'écran pour obtenir l'affichage automatique du contenu dans le format le plus adapté (horizontal/vertical) grâce à l'accéléromètre intégré. Très couture, quel que soit l'angle de vue, le SAMSUNG PLAYER ULTRA arbore une silhouette en métal brossé soulignée d'un liseré rouge qui dévoile un clavier et un dos assortis en métal rouge.
Ultra Multimédia
Le PLAYER ULTRA s'inscrit également dans une démarche d'exigence technologique. Doté d'un appareil photo de 8 millions de pixels, il embarque de nombreuses fonctionnalités avancées: autofocus, mode panorama ou mode portrait comprenant la détection des sourires, flash LED, ajustement automatique des zones sous ou surexposées, zoom numérique 4x, géotagging… Particulièrement simple d'utilisation, il intègre un navigateur photo des plus intuitifs pour faire défiler les paramètres de prise de vue.
Téléphone mobile et appareil photo, le PLAYER ULTRA se transforme aussi en un véritable jukebox, dispensant des heures de musique à partir de sa radio FM avec système RDS ou de son lecteur audio de fichiers MP3, AAC, AAC+, AMR et WMA. Il bénéficie des dernières technologies comme la reconnaissance musicale et le DNSe (Digital Natural Sound engine) qui délivre un son net et puissant pour un plaisir d'écoute intense.
Multimédia complet, le SAMSUNG PLAYER ULTRA intègre une fonction caméscope. Performant, il affiche une résolution de 720 x 480 pixels et enregistre des séquences vidéo au format VGA en 30 images par seconde (jusqu'à 60mn d'enregistrement). Le lecteur/enregistreur vidéo accepte les formats MPEG4, WMV et DivX.
Permettant le géotaging, la géolocalisation et la navigation avec Google Maps, le SAMSUNG PLAYER ULTRA vous guide dans vos déplacements.
Conçu pour le haut débit 3G+ (HSDPA – 7.2 Mbps) et compatible avec la technologie sans fil Bluetooth stéréo, il permet de recevoir instantanément ses e-mails, de naviguer confortablement sur Internet et de télécharger rapidement des fichiers (photos, vidéos, MP3, documents Word, Excel, PowerPoint, PDF).
Le port Micro SDHC (carte de 1Go fournie) permet de stoker l'ensemble de ces documents. A partir de cartes mémoires, le mobile devient une gigantesque médiathèque pour conserver des centaines de photos, clips vidéos et musiques.
Le SAMSUNG Player Ultra est également l'un des tous premiers mobiles dotés d'un chargeur universel micro-USB.
Ultra intuitif
Ce mobile tactile de nouvelle génération se révèle d'une grande simplicité d'utilisation. Hybride, il s'adapte à tous les usages. Ainsi, au gré de vos envies et selon vos besoins, il vous offre la possibilité de saisir un numéro ou de composer un sms à partir du clavier à touches, d'écrire un mail grâce au clavier AZERTY tactile ou de surfer sur Internet en sélectionnant le widget souhaité.
L'interface interactive dotée d'effets 3D offre une parfaite fluidité des menus. Particulièrement ludique, le répertoire s'anime et affiche un diaporama de vos contacts qui se feuillette tel un album photo.
Vous recherchez une adresse, souhaitez réserver un restaurant ou trouver une station d'essence par exemple, le SAMSUNG PLAYER ULTRA vous permet d'accéder directement à de nombreux services en ligne depuis l'écran d'accueil et de son éventail de widgets connectés. En complément des accords avec Google et AccuWeather, SAMSUNG Electronics France a développé plusieurs partenariats spécifiques avec AlloCiné, PagesJaunes, Mappy et L'Equipe.fr. Vous pouvez ainsi sélectionner le widget qui vous permettra de prendre connaissance des prochaines séances de cinéma, des infos sportives, de visualiser un plan routier, de chercher un restaurant ou encore d'afficher les prévisions météo…
Fer de lance de la nouvelle collection de mobiles tactiles signés SAMSUNG, le PLAYER ULTRA inaugure un concept de mobile hybride particulièrement innovant en termes d'interface et d'ergonomie. Il invite les utilisateurs à une nouvelle expérience privilégiant le confort de navigation et de saisie. Du clavier à touches coulissant aux widgets connectés en passant par le clavier AZERTY tactile à l'horizontal, l'ergonomie et les menus ont été repensés afin d'offrir, à chacun, le meilleur des services multimédia mobiles.
Disponibilité du SAMSUNG PLAYER ULTRA en France, avril 2009 : 479€ TTC
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dimanche 5 avril 2009
Holy Week

This blog is an occasional thing for me, these days, rather than something I regularly update. To be honest, other than the upcoming N97, all things Nseries are rather quiet, and if there's nothing new to see or say, why post for the sake of it?
Aside from that, today is Palm Sunday, the beginning of Holy Week. My time online during this week is going to be absolutely minimal, no more than checking for emails, so there certainly won't be any updates this week, either.
This week is time for contemplation on the things in life that are really important. After Easter, hobby time can recommence.
samedi 4 avril 2009
The ugliest logo ever, but maybe it makes sense
Logo creation is a thankless task. Almost all of the interesting shapes and doodles were trademarked years ago. Unless you have hundreds of thousands of dollars to spend on artists and lawyers, and a lot of time, you usually settle on using your company name with no artwork at all.
Or you can take the approach adopted by the newly-formed Symbian Foundation, keeper of the Symbian OS:

Yes, that's really the new Symbian logo. I guarantee no one's going to sue them for it, unless it's the producers of the movie Juno:

I've already gone through a couple of stages of reaction to the logo. The first was horror. Not only is the font something out of 1974, but the color is one of the least popular in the world (step outside and count how many yellow cars you can see, or click here or here). I know I've seen uglier logos in the past, but I can't remember where, probably because I tried to block out the memory.
The discussion on All About Symbian has been amusing (link).
Once I got over my reaction, I reminded myself that the folks at Symbian are smart and very deliberate. Let's assume they have a good reason for choosing this logo. What would it be, and what would it tell us about the company and its business strategy?
The new Symbian is an open source software project. They need to appeal to open source developers, many of whom have a reflexive hatred toward slick and calculated marketing. After all, these are the sort of folks who, when allowed to choose their own logos, spontaneously chose a fat, stoned-looking penguin and a drunken ox:

The GNU Gnu Head and Tux the Linux penguin (link)
Tux drawn by lewing@isc.tamu.edu. Gnu head reproduced under the copyleft license (link).
To the open source community, Symbian has historically been kind of an antichrist -- controlled by some of the biggest tech firms in the world, bureaucratic, closed, and incredibly complex. If you're going to win over the open source crowd, you have to overcompensate by being excessively informal, friendly and "childlike." (That's Symbian's word for it, not mine.)
Here's how Symbian explains the logo (link):
In other words, the slick and calculated marketing approach is to give the company the most artless logo imaginable. And from that perspective, I think they succeeded.
I am wondering, though, what they'll do when it's time to use the logo for something other than just decorating a website. OS logos are generally used as compatibility marks. In that role they need to be displayed on screen, and preferably printed on the back of the phone, to let the user know that he or she can run Symbian applications on the device.
Picture a meeting where the folks at Symbian try to convince a product manager at Nokia or Samsung or SonyEricsson that they should print that logo on the backs of their phones, or that it should be displayed prominently on the screen. I don't think it'll go over very well. And even if they did agree to include the logo, the tiny details in the lettering won't show up well when reduced in size. The logo just isn't designed to travel.
So Symbian app developers should ask how they'll be able to market their applications when Symbian OS users don't even know what their OS is. Symbian has never had a good answer to that, and I think the new logo doesn't move them any closer to solving that problem.
Maybe the assumption is that all Symbian phones will have application stores built in, so developers won't need to communicate compatibility. Maybe, but that will still put a big marketing burden on an application developer to explain model by model which phones their apps work on.
The bottom line is that any logo artless enough to please the open source community would be problematic as a marketing tool. As is often the case in marketing, you can't please all your audiences, so you can either be universally bland or you can optimize for one audience. I think the folks at Symbian decided that open source street cred is the thing they need most.
And maybe they're right.
Or you can take the approach adopted by the newly-formed Symbian Foundation, keeper of the Symbian OS:

Yes, that's really the new Symbian logo. I guarantee no one's going to sue them for it, unless it's the producers of the movie Juno:

I've already gone through a couple of stages of reaction to the logo. The first was horror. Not only is the font something out of 1974, but the color is one of the least popular in the world (step outside and count how many yellow cars you can see, or click here or here). I know I've seen uglier logos in the past, but I can't remember where, probably because I tried to block out the memory.
The discussion on All About Symbian has been amusing (link).
Once I got over my reaction, I reminded myself that the folks at Symbian are smart and very deliberate. Let's assume they have a good reason for choosing this logo. What would it be, and what would it tell us about the company and its business strategy?
The new Symbian is an open source software project. They need to appeal to open source developers, many of whom have a reflexive hatred toward slick and calculated marketing. After all, these are the sort of folks who, when allowed to choose their own logos, spontaneously chose a fat, stoned-looking penguin and a drunken ox:

The GNU Gnu Head and Tux the Linux penguin (link)
Tux drawn by lewing@isc.tamu.edu. Gnu head reproduced under the copyleft license (link).
To the open source community, Symbian has historically been kind of an antichrist -- controlled by some of the biggest tech firms in the world, bureaucratic, closed, and incredibly complex. If you're going to win over the open source crowd, you have to overcompensate by being excessively informal, friendly and "childlike." (That's Symbian's word for it, not mine.)
Here's how Symbian explains the logo (link):
It is a brand that’s human and playful and friendly, where you feel the human hand. A brand that enables you to discover unlimited creative possibilities, that wants to share and talk A brand that’s fun, that isn’t fixed, but free to constantly evolve. A brand that’s owned by all the people that create and build with Symbian. A brand that celebrates new ideas and creativity in all forms. A brand that’s truly alive and refreshingly different, because it is! A brand that’s human to the core and that underneath beats a human heart.
In other words, the slick and calculated marketing approach is to give the company the most artless logo imaginable. And from that perspective, I think they succeeded.
I am wondering, though, what they'll do when it's time to use the logo for something other than just decorating a website. OS logos are generally used as compatibility marks. In that role they need to be displayed on screen, and preferably printed on the back of the phone, to let the user know that he or she can run Symbian applications on the device.
Picture a meeting where the folks at Symbian try to convince a product manager at Nokia or Samsung or SonyEricsson that they should print that logo on the backs of their phones, or that it should be displayed prominently on the screen. I don't think it'll go over very well. And even if they did agree to include the logo, the tiny details in the lettering won't show up well when reduced in size. The logo just isn't designed to travel.
So Symbian app developers should ask how they'll be able to market their applications when Symbian OS users don't even know what their OS is. Symbian has never had a good answer to that, and I think the new logo doesn't move them any closer to solving that problem.
Maybe the assumption is that all Symbian phones will have application stores built in, so developers won't need to communicate compatibility. Maybe, but that will still put a big marketing burden on an application developer to explain model by model which phones their apps work on.
The bottom line is that any logo artless enough to please the open source community would be problematic as a marketing tool. As is often the case in marketing, you can't please all your audiences, so you can either be universally bland or you can optimize for one audience. I think the folks at Symbian decided that open source street cred is the thing they need most.
And maybe they're right.
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Nokia présente Nokia Point & Find, une nouvelle application pour se connecter en un « clin d’œil » à des contenus sur Internet

Une nouvelle plateforme permet aux entreprises d'interagir en temps réel avec leurs clients grâce à un contenu pertinent
Nokia présente un concept innovant qui permet à un public mobile d'accéder à des informations et à des services pertinents sur Internet en pointant simplement l'appareil photo d'un mobile sur des objets réels. Une version bêta de Nokia Point & Find consacrée au cinéma est d'ores et déjà disponible au Royaume-Uni et aux États-Unis. D'autres services viendront s'ajouter par la suite et cet outil sera également proposé dans d'autres pays.
« Grâce à Nokia Point & Find, les entreprises peuvent désormais produire des expériences et des appels à l'action efficaces à destination des consommateurs. Selon nous, ce premier service Nokia Point & Find axé sur le cinéma va devenir un ingrédient essentiel dans l'expérience cinématographique des utilisateurs. En pointant simplement l'appareil photo de leur mobile vers l'affiche d'un nouveau film, les utilisateurs pourront visionner la bande-annonce, lire des critiques et localiser le cinéma le plus proche où ce film est à l'affiche », déclare Philipp Schloter, Directeur général, Nokia Point & Find.
Nokia Point & Find est une plateforme de service ouverte sur laquelle d'autres entreprises peuvent proposer des expériences personnalisées innovantes afin de renforcer les liens avec les clients potentiels. Nokia invite les entreprises, les fournisseurs de contenu et les agences à discuter de la façon dont le service Nokia Point & Find pourrait les aider dans le cadre de leurs applications spécifiques, de leurs campagnes et de leurs activités promotionnelles. Des expériences uniques peuvent être créées via le portail Nokia Point & Find en libre service ou en collaboration avec l'équipe professionnelle Nokia dédiée au service Nokia Point & Find.
Plusieurs entreprises ont déjà appréhendé la manière dont Nokia Point & Find pourrait contribuer à leurs campagnes.
Selon Casey Harwood, Vice-président directeur de la division Digital Media chez Turner Europe, « Nokia Point & Find est un service inédit qui permettra aux utilisateurs de pointer l'appareil photo de leur mobile vers différents objets en lien avec Cartoon Network et de recevoir directement sur leur appareil des informations sur les émissions ou les produits correspondants. Dans un monde où tout est à la demande, cette technologie constitue une avancée passionnante à la fois pour les fournisseurs et pour les consommateurs de contenu. »
« L'exposition BODY WORLDS s'adresse aux personnes curieuses et audacieuses de tous âges. Nous considérons Nokia Point & Find comme un moyen inédit et fascinant de communiquer sur l'événement BODY WORLDS & The Mirror of Time organisé au centre d'exposition The O2. En intégrant cette technologie dans notre publicité extérieure dans les rues de Londres, nous ne nous sommes pas contentés de créer un simple support promotionnel spécial de plus, mais nous proposons une expérience des plus innovantes », déclare Nicky Hewgill, Directeur marketing de l'exposition BODY WORLDS à Londres.
« Le service Nokia Point & Find unit le monde numérique au monde physique d'une façon sensée pour les marques comme pour les consommateurs. En effet, il permet aux consommateurs de se rapprocher des marques d'une façon novatrice, tandis que les marques peuvent proposer une expérience de type « pointez et achetez » à un public nomade », indique Julian Pate, Partenaire client, AKQA.
Nokia Point & Find recourt à des technologies avancées de reconnaissance et de traitement des images en temps réel pour connecter l'utilisateur à des services et des contenus numériques. Il lit également les codes à barres, intègre la technologie de positionnement GPS et prend en charge la recherche textuelle par catégorie. Lorsque le mobile est pointé vers un objet, Nokia Point & Find exploite plusieurs fonctions du mobile pour évaluer l'objet, notamment l'appareil photo, la connectivité Internet et le positionnement GPS. Ensuite, par le biais d'une recherche rapide dans une base de données d'éléments étiquetés virtuellement, le système identifie l'objet et renvoie un ensemble de liens vers du contenu et des services associés.
Les entreprises intéressées par l'intégration de Nokia Point & Find dans leurs campagnes peuvent visiter le site pointandfind.nokia.com pour plus d'informations. La version bêta de Nokia Point & Find est également disponible au téléchargement sur un choix de mobiles au Royaume-Uni et aux États-Unis depuis le site pointandfind.nokia.com.
Les services ainsi que certaines caractéristiques peuvent dépendre du réseau et/ou de la carte SIM, ainsi que de la compatibilité des appareils utilisés et des formats de contenu pris en charge.
À propos de Nokia
Premier fabricant mondial de terminaux mobiles en termes de parts de marché, Nokia est également un leader dans la convergence des métiers de l'Internet et des communications. Notre vaste gamme de mobiles grand public et nos services Internet garantissent aux utilisateurs une expérience optimale dans les domaines suivants : musique, navigation, multimédia, messagerie et jeux. Nous proposons également des solutions de cartographies numériques et de navigation complètes via NAVTEQ, ainsi que des équipements, des solutions et des services pour les réseaux de télécommunications via Nokia Siemens Networks.
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Le Nokia 5800 XpressMusic va intégrer le service « push e-mail » Nokia Messaging en mai

Windows™ Live Hotmail®, l'une des solutions de messagerie sur le Web les plus utilisées au monde, est désormais disponible sur Nokia Messaging, le service qui permet aux utilisateurs d'accéder à leur messagerie personnelle sur leur mobile Nokia*. En mai, Nokia Messaging sera également disponible sur le Nokia 5800 XpressMusic, le premier appareil à écran tactile de Nokia destiné au marché grand public, s'ajoutant ainsi aux dizaines de millions d'appareils Nokia déjà vendus et prenant ce service en charge.
Nokia Messaging, dont le téléchargement et l'installation sont gratuits, prend en charge les comptes de messagerie électronique les plus populaires au monde (Windows Live Hotmail, Yahoo! Mail, Gmail, AOL Mail), ainsi que les comptes de milliers d'autres fournisseurs de messagerie électronique. Facile d'utilisation, il permet d'accéder à 10 comptes de messagerie personnelle maximum sur un même appareil Nokia, le tout via une seule icône. Une fois Nokia Messaging installé, des comptes de messagerie peuvent être ajoutés au service directement sur le mobile, ainsi que via le site Web de Nokia Messaging (email.nokia.com).
Avec l'ajout du Nokia 5800 XpressMusic, Nokia Messaging sera disponible sur 20 appareils différents dans le monde, notamment le Nokia E75 (dont la commercialisation vient de commencer, il est le premier mobile fourni avec Nokia Messaging préchargé), le Nokia E71 (le mobile avec clavier AZERTY le plus fin au monde), le Nokia E63, le Nokia E66 et le Nokia N79**. Davantage de modèles Nokia prendront en charge Nokia Messaging dès leur commercialisation, dont les appareils Nokia E55, Nokia N97 et Nokia N86 8MP.
« Nous avons compris que l'un des principaux obstacles à l'adoption de la messagerie électronique par le grand public n'est pas le manque de fonctionnalités, mais le manque de facilité d'utilisation. Nokia Messaging a été conçu pour allier facilité d'utilisation et mobilité. Tout en proposant aux utilisateurs un ensemble complet de fonctionnalités, Nokia Messaging limite le nombre d'interventions de l'utilisateur et simplifie les opérations complexes. Ainsi, il n'est plus nécessaire de connaître les informations techniques. Cela réduit le risque de confusion et le temps consacré à l'installation et aux premières utilisations du service sur le mobile. En privilégiant des actions et des besoins communs, nous plaçons les actions les plus pertinentes et les plus fréquentes aux avant-postes », indique Atif Hussein, Vice-président Produits, Nokia Messaging. « En proposant Nokia Messaging sur le Nokia 5800 XpressMusic, nous apportons ce service aux utilisateurs, quelles que soient leurs préférences de saisie : écran tactile, clavier AZERTY ou format monobloc. »
* Pour commencer à utiliser Windows Live Hotmail, les utilisateurs existants doivent télécharger la dernière version Nokia Messaging disponible. Pour accéder aux instructions, visitez le site email.nokia.com.
** Pour afficher la liste complète des appareils prenant en charge Nokia Messaging, visitez le site email.nokia.com.
Des accords avec des opérateurs mobiles prévoient la prise en charge de Nokia Messaging dans les forfaits des opérateurs afin que les utilisateurs souscrivant un forfait incluant Nokia Messaging puissent pleinement bénéficier de la messagerie push intégrée et de la messagerie instantanée sans surcoût. A ce jour, les discussions sont en cours avec les opérateurs français.
À propos de Nokia
Premier fabricant mondial de terminaux mobiles en termes de parts de marché, Nokia est également un leader dans la convergence des métiers de l'Internet et des communications. Notre vaste gamme de mobiles grand public et nos services Internet garantissent aux utilisateurs une expérience optimale dans les domaines suivants : musique, navigation, multimédia, messagerie et jeux. Nous proposons également des solutions de cartographies numériques et de navigation complètes via NAVTEQ, ainsi que des équipements, des solutions et des services pour les réseaux de télécommunications via Nokia Siemens Networks.
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vendredi 3 avril 2009
L’iPhone en vente chez Transatel Mobile !
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L’iPhone d’apple est disponible à partir du 2 avril chez Transatel Mobile, le premier opérateur dédié aux frontaliers et aux voyageurs fréquents.
Transatel, l’entreprise européenne experte sur le marché des MVNE et MVNO fait partie des premières à proposer l’IPhone 3G : il sera distribué par l’opérateur Transatel Mobile en France et au Benelux à partir du 2 avril.
La technologie multi-pays* de Transatel, développée et brevetée par l’opérateur, couplée aux accords conclus avec 4 opérateurs nationaux en France, Belgique, Luxembourg et Pays-Bas, permet depuis 8 ans aux utilisateurs de téléphoner, de surfer sur Internet et de consulter leurs emails au tarif local (donc sans frais de roaming**) depuis plusieurs pays européens.
Avec l’iPhone, les clients Transatel Mobile pourront désormais profiter, au-delà des frontières, d’un service unique en Europe ainsi que de toutes les applications proposées par le téléphone d’apple… Avec l’iPhone et Transatel Mobile, surfer sur Internet et consulter ses emails en toute liberté depuis l’étranger devient enfin une réalité.
Pour fêter l’arrivée de l’iPhone, Transatel Mobile propose le téléphone à partir de 239€HT. Plus d’informations sur www.transatel-mobile.com
* Technologie développée et brevetée par Transatel permettant d’intégrer plusieurs numéros de téléphone sur une même carte SIM. l’opérateur a développé un logiciel, disponible gratuitement auprès de l’opérateur, grâce auquel l’IPhone a été rendu compatible avec la technologie multi-pays.
** roaming (ou itinérance internationale) : frais facturés à un consommateur dans le cadre de l’utilisation de son téléphone mobile à l’étranger.
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